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1 septembre 2008 1 01 /09 /septembre /2008 15:38

Mise en perspective

Dans les années 80 et suivantes ont été judiciarisés ou précisés certains délits et crimes sexuels qui jusque là étaient restés dans le cadre de définitions incertaines, ou ignorés. Il s'agit des délits d'agression sexuelle, d'atteinte sexuelle (exercée par un majeur sur un mineur de moins de quinze ans), des crimes de viol et de viol aggravé (commis sur un mineur de moins de quinze ans). Ces mesures ont constitué un indéniable progrès, permettant de sanctionner des actes qui auparavant ne l'étaient pas, ou peu, et d'apporter aux victimes le soutien de la société.

Malheureusement, un certain nombre de personnes ont ensuite utilisé et manipulé ces mesures en portant de fausses accusations. Elles y ont été incitées par l'accueil légitimement bienveillant fait par l'institution judiciaire aux présumées victimes, sa propension à accorder foi à leur version des faits plutôt qu'à celle des auteurs présumés, surtout quand il s'agit d'enfants ou de femmes, la facilité à échapper aux sanctions même lorsqu'elles sont démasquées, et d'autres facteurs. Elles ont inventé un nouveau délit et fait à leur tour des victimes.

La reconnaissance de la réalité des fausses accusations d'abus sexuel n'est nullement en contradiction avec la reconnaissance de la réalité des abus sexuels. Il s'agit des deux faces d'un même problème, dont la solution consiste à les combattre conjointement.

Sommaire

·         Les divers contextes

·         Fausses accusations portées par un enfant contre un de ses parents, ou d'autres adultes

·         Fausses accusations d'abus sur les enfants du couple, portées par un conjoint contre l'autre conjoint dans un contexte de divorce

·         Fausses accusations d'abus sur des enfants, lancées par un adulte contre un ou d'autres adultes

·         Fausses accusations portées par des élèves contre des enseignants

·         Fausses accusations de viol portées par une ex-compagne contre l'ex-compagnon

·         Les réparations

·         Comment comprendre ?

·         Mediagraphie

 

Textes intégraux : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fausses_accusations_d'abus_sexuel

La pertinence du contenu de cet article est remise en cause. - Considérez le contenu de cet article avec précaution. Discutez-en ou améliorez-le !

Dernière modification de cette page le 17 août 2008 à 01:54 - Droit d'auteur : Tous les textes sont disponibles sous les termes de la licence de documentation libre GNU (GFDL). - Wikipedia® est une marque déposée de la Wikimedia Foundation, Inc., organisation de bienfaisance régie par le paragraphe 501(c)(3) du code fiscal des États-Unis. Politique de confidentialité - À propos de Wikipédia - Avertissement

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1 septembre 2008 1 01 /09 /septembre /2008 14:23

Un contrat de mariage n’est pas obligatoire. Si les futurs époux n’en signent pas un, c’est le régime légal qui s’applique. S’ils souhaitent adapter ce régime, ou en adopter un autre (par exemple, la séparation de biens), ils devront établir un contrat de mariage. Mais plus concrètement, à quoi sert ce contrat? D’après le site du conseil francophone de la fédération du notariat belge,

il règle les rapports économiques et financiers entre les époux ;

  • il contient les règles de la preuve de propriété des biens ;
  • il détermine la manière dont chacun pourra gérer et administrer les biens ;
  • il précise également leurs obligations financières l’un à l’égard de l’autre, et la manière dont ils contribueront aux charges du mariage et règlera le partage de leurs économies ;
  • il contient les règles de participation de chaque époux aux dettes que l’un des époux aurait pu avoir contractées ;
  • il peut également régler le sort des biens au moment de la dissolution du mariage, ou prévoir une donation entre époux.

Dès le 1er novembre, il sera possible de modifier devant notaire le régime ou le contrat de mariage conclu. Une adaptation de la loi permettant d’économiser parfois jusqu’à 200.000 euros.

 

Il ne sera bientôt plus nécessaire de passer devant un tribunal pour modifier un contrat de mariage. L'opération pourra se faire simplement devant notaire, une évolution importante dans la mesure où de nombreux contrats de mariage anciens ne se sont pas adaptés à l'évolution de la législation, surtout en matière de succession, rapporte le Standaard dans son édition de lundi.

Des adaptations simples pourraient ainsi faire économiser 70.000 euros de droits de succession à une famille possédant une maison, un appartement à la mer et une épargne de 200.000 euros mais beaucoup de gens ne le savent pas, indique Eric Spruyt, notaire bruxellois et enseignant à l'Ehsal.

Plus besoin de décision de justice

Ils ignorent souvent qu'ils peuvent changer quelque chose à leur contrat de mariage, voire même à changer de régime matrimonial. Depuis 1976, il est possible de modifier le régime ou le contrat conclu mais jusqu'ici, il était nécessaire dans la plupart des cas d'obtenir une décision de justice en ce sens. Seuls quelques cas permettaient d'être modifiés simplement devant notaire.

La loi du 18 juillet 2008, qui devrait paraître au Moniteur belge à la mi-septembre, va changer la donne. A partir du 1er novembre, toutes les modifications pourront être faites devant notaire.

http://monargent.lecho.be/famille_et_argent/heritage/Meilleur_contrat_de_mariage__meilleur_heritage.7980168-1790.art

Que faire si votre conjoint vous cache des problèmes financiers ?

http://monargent.lecho.be/famille_et_argent/budget/Que_faire_si_votre_conjoint_vous_cache_des_problemes_financiers__.7890267-1782.art

La communication est le fil rouge d'une solution.

FAMILLE & ARGENT - Des problèmes d'argent peuvent mettre en péril les couples les plus tenaces. Que faire si vous découvrez que votre moitié vous cache des choses ?

Les couples, qui se marient ou décident de cohabiter, unissent également leurs idées au sujet de l'argent. Combien d’euros seront dépensés par mois ? Quel montant consacré au compte d’épargne ? Et quels sont les priorités ? Toute une série d’affaires pour lesquelles il faudra désormais prendre des décisions ensemble.

Mais que faire si votre conjoint possède un style de vie différent au vôtre ? Ou si vous essayez de dépenser moins mais qu’apparemment il y a un trou dans le budget du ménage ? La plupart du temps, de tels achats ont eu lieu en cachette et vous les découvrez par hasard. Comment réagissez-vous dans une telle situation ?

Respirez profondément

Il est normal que vous soyez fâché, mais laissez votre colère s’essouffler afin de permettre à votre conjoint de s’exprimer. L'argent est de toute façon un sujet émotionnel, c’est donc une mauvaise idée de commencer une conversation sans vous être au préalable calmé. La meilleure des choses à faire consiste encore à écrire ce que vous ressentez et de supprimer les choses que vous regretterez lorsque vous relirez cette feuille à tête reposée.

Réfléchissez sur les causes

Demandez-vous comment vous avez pu atterrir dans une telle situation. Soyez honnête et objectif. Avez-vous suffisamment communiqué ou était-il question auparavant de différents points de vue qui n’ont jamais été discuté jusqu’au bout ? En outre, les idées sur l’argent peuvent changer mais il est extrêmement difficile d’apprendre à changer ses vieilles habitudes.

Ne cherchez pas des choses introuvables

Les chances que les intentions de votre conjoint soient mauvaises sont heureusement infimes. Ne partez donc jamais de cette idée. Remplis de bonnes intentions, il a peut être tout simplement commis une erreur. Mais il est probablement trop fier pour l’admettre.  Dans ce cas, laissez reposer cette histoire. Vous ne pouvez de toute façon pas revenir en arrière. Si par contre vous êtes face à de véritables mensonges, alors vous devriez peut être vous demander si ceux-ci ne sont finalement pas le symptôme de problèmes plus profonds.

Discutez ensemble de manière rationnelle

Ou mieux dit : écoutez votre conjoint. Prêtez attention à ce qu’il raconte et ne mettez pas directement son explication en doute. Essayer même de vous comprendre l’un l’autre et expliquez-lui très clairement pourquoi vous avez été aussi fâché. Si vous et votre partenaire parvenez à motiver vos opinions, alors vous arriverez plus facilement à un compromis.

Soyez prêt à changer de pensée

L'argent étant un sujet particulièrement émotionnel, il est probable que vous vous laissiez mener par vos sentiments. En outre, si la situation au travail est tendue, vous risquez d'être plus prudente en matière de dépenses car vous sentez la présence d'une épée de Damoclès au-dessus de vous.

Votre conjoint trouve peut être que vous êtes trop pessimiste en ne comprend pas du tout pourquoi il faut épargner de manière tellement stricte. Prenez le temps de vous écoutez l'un l'autre et donnez-lui raison si vous vous rendez compte que vous aviez tort.

Cherchez des compromis

Le choix des montants à dépenser dépendent de vos priorités. Et parfois, celles-ci diffèrent de celles de votre conjoint. Peut-être qu’il rêve d’acquérir une grande maison alors que vous souhaitez rénover votre logement actuel. Discutez de telles choses et cherchez un compromis.

Ce n'est pas très grave d'avoir des opinions différentes, mais trop de souhaits opposés peuvent sérieusement perturber votre budget.

RC 12:49 - 30/07/2008 Copyright © monargent.be

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31 août 2008 7 31 /08 /août /2008 15:30

Cellule de Crise

Des centaines de milliers de familles jonglent entre le paiement de leurs dettes et la gestion du quotidien.  Certains foyers n'arrivent pas à rembourser leurs prêts, et sont alors contraints d'emprunter à nouveau, juste pour survivre.  Les dettes de ces familles s'accumulent, car elles sont tombées dans la spirale violente du surendettement.

Des familles, gagnant à peine 1.000 € par mois (et parfois moins) doivent payer des loyers à des prix indécents de 450 à 600 €, et plus par mois. 

Des pères de familles, séparés ou divorcés, sont, en plus, condamnés à payer des pensions alimentaires impossibles à payer, au risque d’être à la rue… et s’accrochent désespérément à leurs emplois avec moins de 2 € par jour pour vivre !  D’autres, en chômage, et n’ayant à peine que 750 € d’allocations de chômage, doivent payer 250 € par mois (voire plus) de pensions alimentaires.  Ceux-là sont carrément à la rue.  

Depuis quelques temps, on aperçoit de plus en plus de jeunes, à la rue, tendant la main pour « une petite pièce ».  On ne voyait pas ça il y a 15 ans, ni même il y a 5 ans !

La balle est donc dans le camp des responsables d'organismes de prêt, ainsi qu’aux membres d'associations venant en aide aux surendettés et à la justice spécialiste en faillites personnelles.  

Aujourd’hui d’hui, c’est une première en Europe, sur la situation.  En Belgique, le gouvernement a pris le problème du surendettement à bras-le-corps.

Les spécialistes savent que les failles de notre système actuel de la gestion du fonctionnement global socioéconomique peuvent être gommées rapidement, par l’instauration d’une série de mesures sociales et législatives généreuses et faciles à mettre en œuvre.  Qu’est-ce qu’on attend encore ?  

Il est donc très urgent de saisir la problématique du surendettement dans sa globalité et de prendre les mesures sociales qui permettront de mettre un terme à ce fléau.  Car c’est une grave menace pour l’avenir du pays !

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29 août 2008 5 29 /08 /août /2008 11:59

Articles publiés sur

Le Soir

http://www.lesoir.be/actualite/belgique/20-000-plaintes-concernant-le-2008-08-21-630005.shtml#forums_reactions_wrapper

 

7sur 7

http://www.7sur7.be/7s7/fr/1517/Canal-You/article/detail/389385/2008/08/21/20-000-plaintes-concernant-le-droit-de-visite-par-an.dhtml

 

L’Échos

http://www.lecho.be/actualit/international/Chaque_annee_20.000_plaintes_concernant_le_droit_de_visite.7940399-590.art

 

Bonjour

 

Le sujet est d’une très grande importance !  Mais il y a seulement 10 commentaires, alors qu’il devrait y en avoir des milliers!!!... 

 

Au nom des 200.000 enfants privés de liens parentaux - après séparations/ divorces - merci de donner un peu de votre temps afin de réagir par vos commentaires, témoignages, vécus,… sur les articles en question.

 

Nous voyons tous, autour de nous, des enfants, des adolescents (et des adultes, les enfants d’hier) détruits après des séparations/divorces conflictuels… ayant vécu sans repères.

Ils sont tous en grande souffrance ! Certains, ou la plupart sont démotivés, perturbés, psychotiques, pervers, violents, toxicomanes, criminels,… ou se suicident.

 

Ne laissons pas l’imbécillité familialiste s’installer plus profondément dans les « Commerces des Robes Noires » ainsi que dans les mentalités indécentes !

Alors, réagissez et votez !  

 

Cordialement vôtre,

Michel WILLEKENS

 

SI VOUS NE POUVEZ VOTER, MERCI DE DIFFUSER À VOS CONTACTS.

Politiques, travailleurs sociaux, médecins, psychologues, Centre de Planning Familial, PMS, CPAS, Mutuelles, Ligue des Familles,…

 

Le Collectif des Pères Violés et Spoliés peut aussi recueillir vos témoignages identifiés ou sous couvert de l’anonymat

Sur sospapa@gmail.com

Bruxelles - Wallonie

http://sospapa.babelleir.be/

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28 août 2008 4 28 /08 /août /2008 10:38

Angleterre : constats 27/08/2008

 

L'Anglais habitué aux ciels pluvieux ne craint pas la douche froide, même quand elle est immobilière. Non pas "cold as a cucumber" mais flegmatique comme le veut la réputation, le sujet de la reine voit le meilleur dans le pire : la crise immobilière consolide les ménages. Se Loger s'invite dans l'intimité de nos voisins. Alors, cup of tea ou assiettes brisées ?

Immobilier et divorce : quand une crise chasse l'autre

Dans les pays latins, l'interdiction de fumer dans les lieux publics pouvait faire craindre une recrudescence des divorces, la nicotine ou le besoin d' "en griller une" mélangeant les tables sur le trottoir et favorisant les rencontres. En Angleterre, l'augmentation a porté sur les saisies de logements (+ 48% sur un an). Mauvaise nouvelle, sauf pour le couple britannique, sauvé du divorce d'après les études. Là-bas, la corrélation entre le prix des biens immobiliers et le nombre de divorces s'explique psychologiquement : quand la valeur de la pierre est à la hausse, les propriétaires se sentent plus riches... et par conséquent plus à même de financer leur divorce. Car même si le coût d'un divorce ne se chiffre pas en millions de dollars comme pour les séparations de stars (Steven Spielberg avait dû verser à son ex-femme, Amy Irving, 500 millions de dollars), il a un prix.

L'être cher et la baisse des prix de l'immobilier

Dans le cadre de la baisse actuelle du marché britannique, l'appauvrissement des deux parties immanquablement entraîné par le divorce est inenvisageable, ce qui se traduit par un ralentissement des séparations.

La maison, crise et correction

Selon les dernières statistiques du premier prêteur britannique, Halifax, les prix immobiliers ont chuté de 8,8% ces 12 derniers mois. Une gible ? Plutôt une correction. Le rééquilibrage du marché immobilier était inévitable, un logement valant l'an dernier en moyenne 6 fois le salaire annuel d'un Britannique alors que depuis 1995 un logement coûtait en moyenne deux fois moins, soit 3 fois le salaire annuel.

Quand "défaut de crédit" rime avec "pour la vie"

Les "subprime" ayant abouti à un durcissement des conditions d'octroi d'un crédit immobilier, il est en Grande-Bretagne de plus en plus dur de faire toits à part : les formules de financement les plus généreuses ont été retirées, les crédits couvrant la totalité de la valeur du logement ont disparu du marché. Désormais, les Britanniques doivent se contenter de faire chambres à part ou d'ébrécher les tasses de thé au cours de leurs scènes de ménage.

Des liens resserrés autour des cordons de la bourse

Pas de fumée de cigarette dans les causes de divorce, mais de l'essence dans les motifs de cohabitation ! Oui, face à la flambée des prix à la pompe, des factures d'électricité, de gaz et du panier de courses, les liens des ménages confrontés à de lourdes charges de remboursement se resserrent autour des cordons de la bourse... de plus en plus proches pour cause de billets en peau de chagrin. La baisse du pouvoir d'achat freine les divorces !

Une décohabitation à venir ?

Pour les experts, le principal facteur de soutien de l'immobilier se porte bien puisque 413.000 personnes sont venues depuis un an accroître le nombre des actifs, l'emploi atteignant ainsi le record de 29,5 millions pour la période actuelle. Les fondamentaux de l'économie restés sains laissent présager un avenir aussi "sweet" que la "home" pour le secteur immobilier. Mauvaise nouvelle donc pour la durée de vie des couples ? Le couple n'est pas encore en péril. Pierre qui a la peau du ménage n'est pas encore pour demain.

La mort et les taxes

Si le premier ministre Gordon Brown souhaite faire un geste pour relancer le marché immobilier, l'annulation complète envisagée de la taxe sur les ventes immobilières ne devrait pas entraîner la mort de la cohabitation du couple puisque cette taxe ne s'élève dans la plupart des cas qu'à 1% du bien. Le taux de divorce en Grande-Bretagne ne devrait donc pas tout de suite augmenter.

Du divorce dans la pénurie de logements

Un mariage sur deux se termine par un divorce et un divorce engendre un besoin supplémentaire de logements, mais le divorce n'est pas le seul à participer à la pénurie de logement, surtout sensible dans les grandes agglomérations : il y a aussi l'explosion des familles monoparentales, les Bridget Jones et les "Sans Domicile Commun", autrement dit les couples vivant dans des logements séparés.

Divorce et immobilier : l'exception française ?

La pénurie de logements fait grimper les prix des biens immobiliers, et c'est cette hausse des prix qui ici force les couples à cohabiter parce qu'ils ne peuvent plus se permettre la séparation de domicile, d'autant que la pension alimentaire ou le fisc qui n'accorde qu'une seule part au nouveau célibataire contribuent à l'appauvrissement des deux parties. On pourrait à nouveau s'exclamer "bonne nouvelle pour le divorce !", mais un maintien forcé sous le même toit ne contribue pas plus à la "home sweet home" qu'au retour de flamme ou à la paix des ménages.

Les "Frogs" à la sauce britannique ?

Avec la hausse des taux et les conditions des emprunts immobiliers qui se durcissent, les Français s'orientent vers le défaut de crédit et pourraient bien être mangés à la même sauce que les "Rosbifs" pour ce qui est du ralentissement des divorces. Mais le rééquilibrage du marché immobilier prévu par les professionnels du secteur pourrait engendrer un mouvement inverse avec une baisse des prix permettant de faire domiciles séparés !
Source: http://www.selogerpro.com/156244/209532/article.htm

Si ces divorces ne sont pas que des spéculations pour s’enrichir en se mariant dans l’intention de divorcer plus tard… alors… c’est quoi d’autres ?  On aime donc l’autre pour le fric ! ?  On se marie pour avoir plus dans sa poche et puis on divorce pour se remplir encore plus les poches !  Mariages = Associations d’escroqueries ? CQFD (Will)

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26 août 2008 2 26 /08 /août /2008 23:15

La Vidéo


http://www.dailymotion.com/nicolasd92/video/xo044_elleetnous20061113150k_family

Cliquez sur le lien « La Vidéo » ci-dessus pour voir l’émission vidéo – 45 minutes


Question de droit de visite et de garde alternée. La vision réactionnaire de Jacqueline Phélip (lenfantdabord) voudrait faire de la Garde Alternée un droit uniquement attribué par les mères: un encouragement délibéré aux conflits entre les parents. Le non conflit entre les parents se voulant une règle des juges pour faire accepter une Résidence Alternée.
Les droits des pères sont encore bafoués dans les faits, même 4 ans après la Loi 2002.

Avec l'Avocate Elodie Mulon, la JAF Florence Géry à Bobigny et Yasser Abousaid de SOS Papa Normandie

Le commentaire du Réseau Parental Europe:*

L'usage du vocable "garde" si cher aux suppôts de l'appareil judiciaire, est une fraude, une supercherie et un manque flagrant de respect aux droits de l'enfant, car ce mot maltraite plus encore l'enfant du divorce.
Depuis 1987 le terme juridique approprié est "résidence et hebergement" alterné ou exclusif, c'est selon.
Merci Mme Elodie Milon d'avoir mis les pieds dans le plat.

reseau-parental@wanadoo.fr

euro-dads@yahoogroups.com

 

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25 août 2008 1 25 /08 /août /2008 12:22

Bonjour,

Des sites ultra féministes - voire « sectaro-femininazis » - comme diraient les associations les plus ultra paternantes (souvent aussi juridico-dépendantes), utilisent exactement le même texte pour démonter la courageuse Elisabeth Badinter...

Sysiphe serait même proche des courants conspirationnistes du Dr. Erick Dietrich (sexopsy/échangisme et thérapies sexuelles/lutte contre la "pedoclastie"...et de Christian Cotten du lobby pro sectaire /liberté de "choix thérapeutique"/piste esotero-mystico-sectaire selon le Nouvel Obs et Le Point pour l'affaire AZF/SNCF en 2002.

Qu'en pensez-vous?

Merci, parentalement, Michel


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Fnac.com : Elisabeth Badinter, Fausse route, Essai, Livres ...
Retrouvez Elisabeth Badinter, Fausse route et toutes les nouveautés livre, roman, BD, manga. ... Auteur, Elisabeth Badinter. Editeur, Odile Jacob ...
livre.fnac.com/a1400819/Elisabeth-Badinter-Fausse-route

Fausse route d'Elisabeth Badinter ; par Philippe Grün et Marie ...

FAUSSE ROUTE. d'Elisabeth BADINTER Odile Jacob (221 pages - 17 euros). par Philippe Grün et Marie Bataille. Deux critiques arrivées au moment de l'opération ...
ecrits-vains.com/critique/fausse_route.html - 23k - En cache - Pages similaires - À noter

Amazon.fr: Fausse route : Réflexions sur 30 années de féminisme ...

Fausse route d’Élisabeth Badinter dresse un état des lieux des luttes féministes. ... Broché: 221 pages; Editeur : Odile Jacob (25 avril 2003) ...
www.amazon.fr/Fausse-route-Réflexions-années-féminisme/dp/273811265X - 163k - En cache - Pages similaires - À noter

Fausse route Elisabeth Badinter

Elisabeth Badinter Fausse route. Odile Jacob. Katell Plaisir avec ce livre qui se lit tout seul, de l'écriture fine d'Elisabeth Badinter, de sa réflexion ...
www.voixauchapitre.com/archives/2003/fausse_route.htm - 28k - En cache - Pages similaires - À noter

Fausse route par Élisabeth Badinter

Fausse route. par Élisabeth Badinter. ( Livre ) Odile Jacob 2003, 225 p., 17 euros ISBN : 273811265X. Réflexions sur 30 années de féminisme ...
www.bibliomonde.net/livre/fausse-route-2630.html - 13k - En cache - Pages similaires - À noter

Editions Odile Jacob

Élisabeth Badinter. Fausse Route. « Les stéréotypes d’antan, pudiquement appelés " nos ... Editions Odile Jacob - Tous droits réservés -Qui sommes-nous ?
www.odilejacob.fr/.../index.php?op=par_auteur&auteur=92&cat=&count=&option=&desc=2068

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Femmes en terre d'islam Lez/zone
Cet article classe, à tort , Elisabeth Badinter parmi les féministes. ..... de divorce s'inscrivent précisément dans un contexte de violence conjugale. ...
lezzone.over-blog.com/20-categorie-927193.html - 223k - En cache - Pages similaires - À noter

[Chiennes de garde] Fausse route ou faux procès ?

Fausse route ou faux procès ? Elisabeth Badinter ou la philosophie dans ..... de l’identité masculine, Odile Jacob, 1992 ; Fausse route, Odile Jacob, 2003. ...
www.chiennesdegarde.org/article.php3?id_article=238 - 38k -
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Sisyphe.org - La percée de la mouvance masculiniste en Occident

Chez les philosophes, Elisabeth Badinter s’intéresse depuis longtemps aux hommes, .... de fausses allégations de violences domestiques, d’inceste etc. ...
sisyphe.org/spip.php?article2941 - 62k - En cache - Pages similaires - À noter

Les hommes doivent retourner sur Mars, raconté sur Injustices en ...

Chez les philosophes, Elisabeth Badinter s’intéresse depuis longtemps aux hommes ... consacrée à la violence conjugale et nous présentait quelques messieurs ...
injustices.be/forum/forum.php?fid=79&msg=35744&return=1 - 103k - En cache - Pages similaires - À noter

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23 août 2008 6 23 /08 /août /2008 23:57

 

INVITATION

 

VOUS ETES INVITES AU CONGRES INTERNATIONAL EN GRECE (DRAMA, 3-5 JANVIER 2009).

 

THEME:

 

EGALITE DES SEXES-EGALITE PARENTALE ET FAMILLE.

DIGNITE MASCULINE ET PARENTALE. 'FATHERS FOR JUSTICE'


UN AUTOCAR PARTIRA DE MADRID, LONDRES, PARIS, BRUXELLES, AMSTERDAM.

 

REUNISSEZ-VOUS PAR PAYS ET ORGANISEZ VOTRE VOYAGE.

NOUS VOUS AIDERONS.

IL FAUT ABSOLUMENT FORMER UNE ALLIANCE EUROPEENNE DES PARENTS POUR DEFENDRE L'AVENIR DE NOS ENFANTS PAR LES INJUSTICES SOCIALES - POLITIQUES ET LA PRATIQUE JURIDIQUE.

AUCUN ENFANT (ET PERE) NE DOIT SUBIR LES TRAGEDIES FAMILLIALES DU DIVORCE.

 

VENEZ EN MASSE EN GRECE POUR UN DEPART DE NOUVELLE STRATEGIE.

CREER UNE PLATFORME COMMUNE ET SUPORTEZ LA FORMATION DU

 

'PARTI SOCIAL EUROPEEN'  

 

LE COORDINATEUR SYGAPA

Nikolas SPITALAS

spitalas@yahoo.gr

 

COUT POUR UN CAR ENVIRONS 30 € /PERSONNE POUR 50 PERSONNES. RENSEIGNEVOUS AUPRES D'UNE AGENCE DE VOYAGES

 

LES PAPAS GRECS (SYGAPA) SONT RASSEMBLES A UNE ASSOCIATION (SYGAPA-MENS AND FATHERS DIGNITY).

ILS SONT POUR LE MOMENT 23.000 (AMIS ET MEMBRES).

NOTRE ASSOCIATION EST CREE DEPUIS 2005 ET NOUS AVONS PLUS DE 200 PRESENTATIONS EN MASSES MEDIAS (tv, radio, journaux, revus).

NOUS AVONS DE MULTIPLES VIDEOS QUE VOUS POUVEZ CONSULTEZ DANS NOS SITES. AUSSI L'OBSERVATOIRE DE L'ALIENATION.

AIDEZ-NOUS POUR LA CREATIOND'UNE FEDERATION EUROPEENNE AYANT COMME BUT LA PARTICIPATION AUX ELECTIONS EUROPEENNES: NOUS N'AVONS AUCUNE AUTRE SOLUTION.

AUSSI UNE PRESENCE MASSIVE AU PARLEMENT EUROPEEN QUE NOUS POUVONS PREPARER LORS DE NOTRE CONFERENCE INTERNATIONALE LE 3-4 JANVIER 2009 A DRAMA (GRECE DU NORD).

LES PERES ESPAGNIOLS SONT TRES ACTIFS: REGERDEZ LEUR MANIFESTATIONS EN VIDEOS.

LES BRITANIQUES ET LES HOLLANDAIS PEUVENT NOUS AIDER.

NOTRE SEULE POSSIBILITE DE GAGNIER LA REFORME EST L'UNION ET L'ACTIVISME.

ICI, NOUS TRAVAILLONS AVEC DES SCIENTIFIQUES ET DES UNIVERSITAIRES POUR RESULTETS A LONGTERME .

MERCI

NICOLAS SPITALAS,

PRESIDENT SYGAPA

www.sos-sygapa.eu

INTERNATIONAL OBSERVATORY FOR THE ALIENATION:

http://internationalienation.blogspot.com/

 

Drama se trouve au Nord de la Grèce a 150 Km de Thessaloniki. Il existe un grand aéroport à Thessaloniki et il y a toutes les heures un car - bus vers Drama. Il y a aussi gare de trains (le lieu du congres se trouve a 200 mètres de la gare).

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14 août 2008 4 14 /08 /août /2008 11:39

D’après « L’imposture Judiciaire » de Pascal DAZIN – Médecin social - Présentation et Résumé par le Collectif La Vie De Pères et SOS Papa BW - Bruxelles Wallonie

http://laviedeperes.over-blog.com/

laviedeperes@hotmail.com

 

Constats collectifs sur plus de 10.000 cas de destructions familiales de 1993 à 2008 en France et en Belgique par le Groupe de Recherches et d’Actions des Pères Violés et Spoliés

La « justice » familiale : entre l’enfer et le cauchemar.

Vous qui entrez dans ce monde, perdez tout espoir…

 

Nous avons le droit et le devoir de nous révolter contre les injustices et les abus de pouvoir des institutions ou de ceux qui les représentent.

Des codes civils interprétables en tous sens

(…) sont brandis aujourd’hui des codes civils interprétables en tous sens, des procédures aussi multiples et complexes qu’il le faudra suivant les cas, des conventions bafouées, des effets de manche, des huissiers et des experts serviles…

Un expert psy d’aujourd’hui est aussi dévoué à son tribunal que jadis un curé l’était à son seigneur

Un expert psy d’aujourd’hui est aussi dévoué à son tribunal que jadis un curé l’était à son seigneur, car on ne mord pas la main qui vous nourrit: il doit donc disséquer la famille naturelle sur ordonnance judiciaire. La décomposer en force du bien et force du mâle.

Quant aux enfants, qui n’existaient jadis que s’ils survivaient pour aider la famille, leur statut a changé: ils existent à présent en tant que prétexte à procès afin d’aider le lobby noir à valider ses honoraires…

Si les pères résistent au traitement judiciaire qu’on leur administre, ils sont psychorigides voire paranoïaques

Pour qu’on les fasse passer en justice, les pères d’aujourd’hui y sont traités comme des sorcières ou des envoûteurs. Au mieux ils sont absents, c’est ce qu’ils ont de mieux à faire pour éviter les ennuis. Mais au pire, sils résistent au traitement judiciaire qu’on leur administre pour leur bien et celui de leurs enfants, ils sont psychorigides voire paranoïaques, incapables de le comprendre et de se soigner…

Les Divorces, mannes providentielles pour le système judiciaire

Cette énorme machine judiciaire familiale est en effet soigneusement huilée, et à travers ses adaptations régulières, tout se passe comme si elle devait réviser ses rouages afin de maintenir son pouvoir absolu sur tous ces parents en difficulté, artificiellement mais quasi-systématiquement happés dans ses engrenages...

La nécessité de discriminer les parents transformés artificiellement en justiciables.

En effet, ce qui caractérise principalement la machine à juger les parents, c’est  en général son caractère intrusif, abusif, son fonctionnement basé par principe sur la nécessité de violer deux conventions ratifiées pour asseoir ses procédures mercantiles, et c’est pour chaque cas particulier, qui ne supporte aucune exception, la nécessité de discriminer les parents transformés artificiellement en justiciables.

 

Le titre de mon premier ouvrage était « les séparations parentales : l’impasse judiciaire ». Il était basé sur une expérience personnelle d’aide bénévole apportée pendant plus de dix ans à des  milliers de personnes spoliées de leurs responsabilités fondamentales, violées dans leur honneur, paupérisées et exclues, volées du plus simple de leur sens de vivre. J’ai démontré que le fonctionnement de cette institution était dévoyé, que plus rien ne pouvait la faire assimiler à cette justice que chacun appellerait de ses vœux, animée de nos idéaux…

Si les femmes sont favorisés c’est parce qu’elles sont instrumentalisées.

Qu’on ne se trompe pas : au contraire de ce qu’elle plaide, cette machine n’est animée d’aucun égard particulier envers les femmes, lesquelles sont tactiquement privilégiées, mais pas respectées : elles sont elles aussi instrumentalisées. Autrement dit, que la plupart des mères l’emportent en pouvoir parental et en pensions sur les pères n’est absolument pas un cadeau gratuit que le monstre en robe noire accorde à la gente féminine. La justice familiale est un monstre froid qui n’aime les parents que pour sa consommation personnelle, mais non pas pour eux ou leurs enfants. Si ce monstre sans limites ni maître dévore quotidiennement du père, discrimine positivement les mères et prélève les deux parents, c’est par stratégie. Epouser le conformisme féministe lui donne de belles allures : il se tient bien à table. Les formes sont respectées…

 

Et sur le fond maintenir et conforter ce féminisme discriminatoire obéit à une autre impérieuse règle : pour mouliner, très vite, pour multiplier les affaires, pour sortir les sacs de farine homologués et homogénéisés des familles recomposées, il faut que les rouages soient fiables. Pas de bavures, pas de grains de sable, donc pas de jurisprudence, car sinon deux conséquences terribles viendraient paralyser la machine à normaliser: la clientèle féminine craindrait d’entrer en justice, de peur de ne plus « gagner », et les ce qu’il resterait d« affaires » durerait beaucoup plus longtemps, et rapporterait moins d’argent.

 

La cruauté ordinaire du lobby le plus conformiste et le plus impuni de France s’abat à présent banalement sur une foule de  parents en difficulté. Elle prétend  sans vergogne être exercée au nom du Peuple français et dans l’intérêt supérieur de leurs enfants.  C’est pourquoi mon nouveau livre ne fera plus référence à « l’impasse judiciaire », mais va bel et bien évoquer l’imposture des gens de droit, qui font tout de travers pour nos enfants et leurs parents, consciemment, comme on exploite sans aucun risque un filon.

 

Avant de condamner les agissements de toutes ces mères dites abusives, il faut se demander pourquoi elles peuvent abuser, quelles forces les y incitent et pourquoi leur dérive est facilitée par le milieu psycho judiciaire et même policier. Car nous vivons dans une jungle de droits discriminants et légalement organisés, que l’on appelle « état de nature ». L’exemple type est assurément cette organisation méticuleuse de la décomposition familiale avec préférence sexuelle obligée dans les tribunaux…

Des magistrats violent chaque jour les conventions ratifiées

Si tous les magistrats violent chaque jour deux conventions ratifiées (celle des droits de l’Homme et celle des Droits des Enfants), c’est qu’ils sont impunis, et se tiennent les coudes avec les autres intervenants, de manière à satisfaire leur goût du pouvoir, qu’il serait vraiment naïf de confondre avec le désir de justice, à conserver leur travail sans risques, et leurs strates d’honoraires providentiels.

L’ensemble du lobby noir continue également de faire la politique de l’autruche, de jouer son rôle dans ce vaste théâtre, parce qu’aucun devoir de suivi, aucun principe de précaution réel, ne s’oppose à la perpétuation de l’exploitation…

Les verrous se sont multipliés pour empêcher toute amélioration de la situation, pour écraser tout projet social

Les verrous illégaux se sont multipliés pour empêcher toute amélioration de la situation, pour écraser tout projet social et républicain de passer la porte du progrès.

-Souvenons-nous, par exemple, de cet arrêt de cassation (arrêt dit « Lejeune » qui empêcha d’invoquer dans les tribunaux  les préceptes d’une convention ratifiée, alors qu’ils s’imposent à tous en dehors de ces lieux d’exercice du droit.

Car les invoquer aurait empêché toute discrimination basée sur le sexe, et toute discrimination entre parents. Cela aurait entraîné que le juge renonce à discriminer, et donc à juger des parents Respecter ces valeurs civilisées fondamentales aurait en conséquence privé le monde des robes noires de sa première source de gains!

-Ou relisons, par exemple, la loi de 2002, dite loi Royal-Ayrault, qui enferme définitivement les parents dans les cabinets d’avocats et les contraint à entrer en procédure pour tout événement familial. A cet égard, le principe de la « résidence alternée » imposée en justice n’est que poudre aux yeux : les parents séparés qui pratiquement ce type de vie familiale ont heureusement échappé à la « justice », et c’est précisément celles et ceux qui ont besoin de la faire peser sur l’autre parent qui devraient se voir purement et simplement interdire ce type de partage égalitariste!)…

Il sera comme d’habitude retenu que la justice manque de moyens

Cette montagne a accouché d’une souris d’ailleurs morte née, puisque sous la pression indécente de ce lobby, il sera comme d’habitude retenu que la justice manque de moyens

(Alors qu’au contraire elle s’investit beaucoup trop dans des missions lucratives mais exorbitantes du droit), que les experts, même mauvais, retrouvent leur job sans risque et sur payé, et que demain nous risquons d’être jugés par encore plus de juges aussi déconnectés des réalités et plus corporatistes et conformistes que jamais…

La justice familiale brise le sens de vivre de dizaines de milliers de gens

Depuis trente cinq ans, sans état d’âme, sans jamais rembourser ni même s’excuser, la justice familiale a brisé le sens de vivre de dizaines de milliers de gens, a brisé la vie de dizaines de milliers d’autres, et tue tous les jours des parents poussés aux réactions extrêmes. N’importe quel médecin serait sous les verrous pour avoir fait dix fois moins de mal à un patient, n’importe quel maire serait sévèrement condamné s’il négligeait autant d’administrés.

 

La première partie de ce livre se rapportera à ce que j’ai personnellement vécu durant treize ans de résistance. L’acharnement actif et passif des robes noires a failli me coûter la vie, et m’a précipité au bord de l’exclusion sociale. De nombreux textes accompagnèrent mes tentatives de résistance lors des audiences en « justice ». Ils restèrent systématiquement et même scrupuleusement lettres mortes, comme si je n’avais pas écrit, pas déposé mes écrits dans les formes. Comme si je n’existais qu’en tant que perdant et condamné d’avance.

 

La seconde partie propose des réflexions sur les nouvelles nuisances sociales entraînées par la pollution judiciaire contemporaine, amorale et  violant les lois civilisées, ainsi qu’une refonte définitive du droit de la famille, qui replace le monde judiciaire à sa vraie place chronologique dans l’ordre naturel des recours…

Le droit, mais surtout le devoir pour chacun de se révolter contre les injustices et les abus de pouvoir

En effet, la Constitution née de la révolution française a affirmé non pas seulement le droit, mais surtout le devoir pour chacun de se révolter contre les injustices et les abus de pouvoir des institutions ou de ceux qui les représentent…

Tous les pilotes de ces institutions font à présent partie du lobby judiciaire

Car en réalité, tous les pilotes de ces institutions font à présent partie du lobby judiciaire. Il est tellement plus avantageux de faire un discours sur les enfants de « sans-papiers » que sur les millions d’enfants illégalement, injustement, et illogiquement privés de père et flanqués d’une mère artificiellement toute puissante dans la France des Droits de l’Homme au service d’un lobby qui ne peut accepter la fin d’une guerre des sexes qui grossit mieux que tout autre filon leur portefeuille boursier...

Un système qui rend les enfants orphelins de père

Je dénonce donc un système qui rend les enfants orphelins de père actif quel qu’il soit, quoi qu’il ait fait ou fasse,  et quoi qu’il veuille faire pour sa famille...

Des officines d’avocats « spécialisés dans le droit de la famille »

A travers quelques écrits rédigés au long de ces années de lutte personnelle et collective (puisque j’ai soutenu des milliers de mes contemporains se heurtant à la néo-barbarie judiciaire), je présenterai également un tableau désastreux de l’involution sociale en cours, de cette fonte des neiges de nos valeurs civilisées, qui paraissent éternelles, et qui s’épandent à présent en eau sale et glacée, évacuées des tribunaux ou des officines d’avocats « spécialisés dans le droit de la famille », pour venir souiller l’ensemble de la population et vicier leur culture…

Quiconque rencontre un problème de santé ne consulte ni un architecte ni une couturière

D’autre part, quiconque rencontre un problème de santé ne consulte ni un architecte ni une couturière. S’il le faisait, son comportement évoquerait  un désordre mental.

 

Pourtant, dans la très grande majorité des cas, qui rencontre un problème de famille se retrouve précipité dans le monde judiciaire. C’est ce qui m’arriva, comme à tant d’autres, voici seize ans.

Toute la société marche sur la tête

C’est donc toute la société qui marche sur la tête. Car aussi vrai qu’un parent n’est pas un délinquant ou qu’un enfant n’est pas un usufruit, la vie de famille ne devrait qu’en bien peu de cas se retrouver d’emblée dans les serres des hommes d’affaires et dans les affres des conflits judiciaires.

Quelques lobbies opportunistes exploitent les difficultés humaines comme jadis on exploitait les mines

Personne ou presque, ne tire la sonnette d’alarme sociale. J’y vois la preuve de notre peur du monde corporatiste le plus puissant et le plus infiltré dans les sphères de pouvoir, et un signe complémentaire de cette folie collective de « justice pour tous». De cette folie qui s’est emparée de nos contemporains, sous la pression, il faut le dire, de quelques lobbies opportunistes qui exploitent les difficultés humaines comme jadis on exploitait les mines…

 

De fait, filon d’hier contre filon d’aujourd’hui, nous sommes passés depuis trente cinq ans de l’âge des carrières de pierre et des valeureuses gueules noires à celle de l’exploitation des familles en difficulté par les robes noires carriéristes…

 

Nous sommes entrés dans l’ère des bénéfices secondaires soutirés par la plus sale des guerres modernes, la guerre des parents sous prétexte de l’intérêt de leurs enfants et de la folie des « droits » qui ont terrassé les libertés, les devoirs, ou même les règles de la vie civilisée…

Aucune étude sur les irréparables dommages que les familles puissent endurer par la faute de cette intrusion judiciaire

Aucune étude concernant les conséquences de la main mise judiciaire  sur la vie de famille n’est réalisée. Elle est pourtant extraordinaire au plan logique et exorbitée du droit conventionnel au plan du fonctionnement républicain de nos institutions. Ce qui s’applique au commun des mortels ne s’applique donc jamais un juge, un huissier, un avocat, un psy agréé, quels que soient les irréparables dommages que les familles puissent endurer par la faute de cette intrusion judiciaire autoritaire. En fait, le principe de précaution et le devoir de suivi s’arrêtent à la porte des tribunaux, section familiale…

Aucune responsabilité sur les provocations de suicides et d’exclusions

Remarque : alors que les harceleurs sont condamnés lors du suicide de la victime, les faiseurs d’injustices, eux, ne sont jamais inquiétés.

 

Qu’un homme se suicide en sortant d’un tribunal où il était rentré en espérant rester père ne pose aucun problème à ceux qui l’ont poussé à cette fin. Et pourtant, en trois décennies de capture judiciaire de cette problématique sociale, il y en a eu des milliers…

 

Que des dizaines de milliers d’autres aient peu à peu été aspirés dans la spirale des exclusions ne fait pas trembler les robes de ces quarante cinq mille hommes de droit, qui martèlent dans leurs publicités se tenir à notre service...

 

Et que des millions gens vivent à présent la norme imbécile des « droits » parentaux calibrés (selon le sexe parental le plus souvent) avec les pertes progressives de liens familiaux qui découlent de ces mesures autoritaires inadaptées, ce n’est pas non plus le problème d’un lobby qui amasse le plus gros de son chiffre d’affaires par le biais de ces procédures artificielles…

Conditionnement à l’affrontement au lieu d’épaulement vers l’apaisement

Je ne me contenterai pas d’évoquer les incroyables péripéties que ce monde noir m’a fait vivre, puisqu’en tant que militant associatif au service de la socialisation républicaine de la vie de famille, ce livre reprendra quelques-unes de mes analyses sociologiques et propositions concrètes pour prévenir les cruautés ordinaires que cette corporation fait subir à tant de familles en désarroi, conditionnées à l’affrontement au lieu d’être épaulées vers l’apaisement…

L’irresponsabilité et l’inimaginables ! On ne peut pas imaginer ça dans notre société !

Jamais je n’aurais imaginé que tout ce qui m’est advenu soit possible dans notre pays. Quand je vois à présent un homme « sans domicile fixe », quand j’entends parler d’un autre qui vient de se suicider, pris dans la spirale infernale, quand j’assiste impuissant à un meurtre familial, je sais à présent que le milieu judiciaire s’en lave les mains, tel Pilate, et parle inlassablement de « forcené », de « drame du divorce », de « crime passionnel » ou de « maladie mentale »…

Résister pour ne pas se supprimer

J’ai résisté peut-être parce que j’ai eu le réflexe d’aider des milliers d’autres, connaissant ces mêmes épreuves, peut-être parce que médecin, j’ai appris à supporter et à ne pas me plaindre, à aider et proposer, peut-être parce que j’ai voulu aller jusqu’au bout avant de démissionner. J’ai résisté parce qu’au dernier moment, je me suis dit que me supprimer serait encore pire pour ma famille…

 

…Car au-delà de la perte des illusions, c’est bien le naufrage des espoirs humains qui est programmé.

 

Tout se passe comme si être père de famille ici et maintenant, et vouloir le rester, expose à la perte de responsabilités, du sens de vivre, au déshonneur, à l’exclusion, au suicide, selon que vous abandonnez tout de suite, ou plus tard, ou jamais, face à un lobby intouchable qui profite de vos difficultés, et même qui les exacerbe afin de mieux en profiter. Ma conviction est faite à ce sujet : l’Homme se plie très souvent aux conditionnements auxquels il est soumis. Notre société conditionne les hommes à démissionner de l’essentiel, ne les aide absolument pas, et pousse les femmes à se sentir toutes puissantes avec l’aide du monde judiciaire et psychologisant agréé, les deux grands bénéficiaires de tous les désordres sociaux…

Recours impossibles afin de protéger le dysfonctionnement judiciaire

Il est intéressant de noter que depuis quelques années, les jugements de séparations parentales ne peuvent plus donner lieu à un recours en cassation et que quiconque s’adresse à cette commission européenne pour ce type de problème social judiciarisé se voit répondre la même chose…Comment mieux prouver la volonté d’un lobby de protéger son propre fonctionnement normalisateur et prédateur ?...

Refus d’application de la Convention des Droits des Enfants et la non discrimination des parents

Alors que je demandais l’application de la Convention des Droits des Enfants et la non discrimination des parents, la juge, très agacée, fit tomber une pile de documents de son estrade, et les avocats en fond de salle firent un chahut très révélateur. Cette magistrate tint à écrire dans l’ordonnance que c’était « évidemment en conformité avec cette convention » que le jugement était rendu (alors qu’un arrêt de cassation interdisait de l’évoquer directement. Ce monde professionnel n’en est pas à une transgression près pourvu qu’il en profite)...

Discriminations légalisées

Inutile également de contacter la « HALDE », structure (En France) récemment créée par le président de la République : cette « Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations et pour l’Egalité », dont l’un des présidents est aussi vice-président de la cour de cassation, ne veut pas entendre parler de cette discrimination là, certes la plus banale de toutes, mais non sujette à critique puisque c’est une discrimination légalisée!...

Une justice indigne d’un pays civilisé

Quand j’écrivis, bien avant Outreau (En France), à un collège de trois magistrates qu’elles et tant d’autres ont fait de la justice une machine indigne d’un pays civilisé, avant tout en s’accaparant une problématique qu’il était illégal et non civilisé d’avoir capté, et que je le fis avec des termes que des centaines d’autres ont depuis repris après analyse du massacre d’Outreau, je fus condamné pour « outrage à magistrats »…

Actes de bassesses sous couvert de la loi

Or, quand on peut commettre des bassesses sans danger et sous couvert de la loi, bien peu résistent à la facilité de l’exploitation de l’homme par l’homme, et certains, plus nombreux que l’on croit dans une corporation sans morale,  y prennent même un plaisir pervers. Il ne faut pas vivre en 1940 pour cela : exploiter les autres sans danger, et sous couvert d’une idéologie, est l’un des deux métiers les plus vieux du monde…

Juges et auxiliaires de justices, esprits de malfaisance sociale 

Zola accusait « les esprits de malfaisance sociale », condamnant à Rennes un peuple à travers un homme, parce qu’il était juif. « Je ne les connais pas », écrivait-il…

Il suffit aux femmes de claquer des doigts car les juges n’aiment pas les pères

J’étais déboussolé, culpabilisé, mais encore amoureux. Je m’arrangeai d’autre part pour que mon fils rencontre sa mère à mi-temps. C’est exactement au moment où son amant fut soulagé des démarches de son divorce qu’elle m’informa souhaiter « clarifier » la situation de notre enfant, m’annonçant, je la cite, « que les juges n‘aiment pas les pères » et « qu’elle n’aurait qu’à claquer dans ses doigts pour que je perde tous mes droits » (cette menace limpide était survenue parce que je lui avais solennellement demandé, en privé, de ne pas exhiber leur sexualité devant mon fils de trois ans, qui en était très perturbé. Cet avertissement n’eut pas l’heur d’être apprécié par le « psy » décrit comme « spécialiste des enfants », ni par leur avocat commun)…

On ne connaît les gens que quand ils vous quittent

(…) on ne connaît les gens que quand ils vous quittent, à la façon dont ils le font, avec les complicités qui sont ensuite les leurs pour vous détruire,  ou à défaut vous réduire pour vous exploiter…

Pour commander gratuitement le manuscrit

Le manuscrit de Pascal DAZIN (par courriel électronique Microsoft Word Document 662 Ko – 154 pages A4) est disponible en écrivant à Pascal DAZIN : pascal.dazin@wanadoo.fr (uniquement en ce moment et avant la publication en Librairie).

 

Nous ne pouvons pas tolérer tant de dysfonctionnements !

Nous devons réagir si nous sommes humains.

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18 juillet 2008 5 18 /07 /juillet /2008 10:41

Le commerce du conflit

A propos d'une publicité mensongère : «Famille, je vous ai»

Site: http://enfants-du-divorce.sos-forum.net/

 

Par Pascal Dazin, co-fondateur du collectif REPARE (Résistance des Parents Responsables), dimanche 11 novembre 2007

Une vaste campagne publicitaire radiophonique, diffusée notamment sur les ondes publiques, est venue vanter l'intérêt qu'il y aurait pour les auditeurs à contacter les avocats in...

 

[Lecture complète]

http://enfants-du-divorce.sos-forum.net/portal-2.htm#news_2

 

Commentaires: 6

http://enfants-du-divorce.sos-forum.net/a-propos-des-avocats-f1/le-commerce-du-conflit-t2.htm

 

_______________

Résumé par will

(…) La tromperie résulte du fait qu'elle propose des « conseils » alors que le coeur de métier des avocats inscrits aux barreaux est de transposer les problématiques dans l'arène conflictuelle des tribunaux, afin d'obtenir une discrimination de droits entre justiciables, voire une condamnation de l'une des parties.

(…) En matière de vie de famille, les parents en difficulté sont incités par cette publicité à être « conseillés » par des professionnels du conflit, qui dressent un tableau très souvent dégradant des parents, montés artificiellement l'un contre l'autre afin de mieux les diviser et de faciliter la discrimination normalisée en « justice familiale ». (…) Inciter des parents désemparés à se battre en justice l'un contre l'autre constitue un acte d'abus envers eux, à seule fin de les asservir en tant que clients pris dans une spirale judiciaire qu'on leur présente comme légale et normale, alors qu'elle est trop souvent castratrice, humiliante, désocialisante et... bien évidemment mercantile. (…) Les familles en difficulté attirées dans la spirale judiciaire sont inexorablement vouées aux rapports conflictuels. Le lobby judiciaire n'ignore nullement la portée de ses actes. (…) La normalisation, et prise de pouvoir judiciaires sont à cet égard bien trop prégnantes pour permettre aux parents de se faire épauler dignement par des acteurs sociaux neutres et bienveillants, comme il s'en trouve chez nombre de médiateurs ou même chez certains psychologues. (…) Toute incitation au respect, à la conciliation, à la tolérance est vouée à l'échec dès lors que les conseillers juridiques font valoir les bénéfices secondaires qu'il y aura pour le/la gagnant(e) en justice, alertent avec opportunisme sur les droits discriminants à installer et à préserver, et instrumentalisent l'un des parents ou les deux, en flattant voire même en démultipliant la puissance de leurs rancoeurs, au lieu de les aider à respecter leurs prérogatives fondamentales: l'éducation et l'exemplarité parentales bien menées, dans un esprit de tolérance et de respect. (…) La déontologie de la profession d'avocat interdit (du moins à ceux qui s'en souviendraient encore) de nuire plus que de raison à la partie adverse ou à des tiers. En incitant les parents aux conflits, et en favorisant les discriminations selon le sexe sous prétexte de l'intérêt supérieur des enfants concernés, les avocats n'ignorent nullement saccager des destinées parentales et enfantines, saborder les chances éducatives des enfants instrumentalisés, appauvrir la destinée de toute la famille ascendante et collatérale du parent qui va être judiciairement disqualifié, privé de ses responsabilités et investi d'une « autorité parentale » fantoche. De très nombreux pères de famille ont sombré dans une forme d'exclusion ou de perte de repères civilisés après conseils d'avocats. Les désordres sont malheureusement très fréquents ; et fortement banalisés. De la déresponsabilisation à la dépression réactionnelle, de la dépression aux difficultés professionnelles et relationnelles, au surendettement, de la perte de domicile à la perte totale de contrôle, par suicide ou homicide. Dans tous ces cas de figure, les conséquences des actes des avocats perdurent en parfaite violation de la déontologie de cette profession. - L'ordre des avocats fait de la publicité pour commettre des actes illégaux. En effet, l'intrusion d'emblée de ce lobby dans les difficultés familiales afin de voir légalisée une discrimination parentale, le plus souvent sur des critères d'appartenance sexuée, constitue une infraction à l'article 371 du code civil (« tout enfant doit honneur et respect à ses pères et mère ») , à l'article 14 de la Convention Européenne de Sauvegarde des Droits de l'Homme et des Libertés Fondamentales (un état ne peut imposer une discrimination basée sur l'appartenance sexuelle), et aux articles 2, 9, 16, 18 et 29 de la Convention Internationale des Droits des Enfants (CIDE). C'est d'ailleurs ce lobby qui a pesé à de nombreuses reprises pour conserver ce marché et envenimer les rapports inter-sexuels parentaux, afin d'en tirer le profit maximal : (…)

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  • : Droit fondamental des parents, des enfants, à un logement suffisant, à la dignité humaine…
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