D’après « L’imposture Judiciaire » de Pascal DAZIN – Médecin social - Présentation et Résumé par le Collectif La Vie De Pères et SOS Papa BW - Bruxelles Wallonie
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Constats collectifs sur plus de 10.000 cas de destructions familiales de 1993 à 2008 en France et en Belgique par le Groupe de Recherches et d’Actions des Pères Violés et Spoliés
La « justice » familiale : entre l’enfer et le cauchemar.
Vous qui entrez dans ce monde, perdez tout espoir…
Nous avons le droit et le devoir de nous révolter contre les injustices et les abus de pouvoir des institutions ou de ceux qui les représentent.
Des codes civils interprétables en tous sens
(…) sont brandis aujourd’hui des codes civils interprétables en tous sens, des procédures aussi multiples et complexes qu’il le faudra suivant les cas, des conventions bafouées, des effets de manche, des huissiers et des experts serviles…
Un expert psy d’aujourd’hui est aussi dévoué à son tribunal que jadis un curé l’était à son seigneur
Un expert psy d’aujourd’hui est aussi dévoué à son tribunal que jadis un curé l’était à son seigneur, car on ne mord pas la main qui vous nourrit: il doit donc disséquer la famille naturelle sur ordonnance judiciaire. La décomposer en force du bien et force du mâle.
Quant aux enfants, qui n’existaient jadis que s’ils survivaient pour aider la famille, leur statut a changé: ils existent à présent en tant que prétexte à procès afin d’aider le lobby noir à valider ses honoraires…
Si les pères résistent au traitement judiciaire qu’on leur administre, ils sont psychorigides voire paranoïaques
Pour qu’on les fasse passer en justice, les pères d’aujourd’hui y sont traités comme des sorcières ou des envoûteurs. Au mieux ils sont absents, c’est ce qu’ils ont de mieux à faire pour éviter les ennuis. Mais au pire, sils résistent au traitement judiciaire qu’on leur administre pour leur bien et celui de leurs enfants, ils sont psychorigides voire paranoïaques, incapables de le comprendre et de se soigner…
Les Divorces, mannes providentielles pour le système judiciaire
Cette énorme machine judiciaire familiale est en effet soigneusement huilée, et à travers ses adaptations régulières, tout se passe comme si elle devait réviser ses rouages afin de maintenir son pouvoir absolu sur tous ces parents en difficulté, artificiellement mais quasi-systématiquement happés dans ses engrenages...
La nécessité de discriminer les parents transformés artificiellement en justiciables.
En effet, ce qui caractérise principalement la machine à juger les parents, c’est en général son caractère intrusif, abusif, son fonctionnement basé par principe sur la nécessité de violer deux conventions ratifiées pour asseoir ses procédures mercantiles, et c’est pour chaque cas particulier, qui ne supporte aucune exception, la nécessité de discriminer les parents transformés artificiellement en justiciables.
Le titre de mon premier ouvrage était « les séparations parentales : l’impasse judiciaire ». Il était basé sur une expérience personnelle d’aide bénévole apportée pendant plus de dix ans à des milliers de personnes spoliées de leurs responsabilités fondamentales, violées dans leur honneur, paupérisées et exclues, volées du plus simple de leur sens de vivre. J’ai démontré que le fonctionnement de cette institution était dévoyé, que plus rien ne pouvait la faire assimiler à cette justice que chacun appellerait de ses vœux, animée de nos idéaux…
Si les femmes sont favorisés c’est parce qu’elles sont instrumentalisées.
Qu’on ne se trompe pas : au contraire de ce qu’elle plaide, cette machine n’est animée d’aucun égard particulier envers les femmes, lesquelles sont tactiquement privilégiées, mais pas respectées : elles sont elles aussi instrumentalisées. Autrement dit, que la plupart des mères l’emportent en pouvoir parental et en pensions sur les pères n’est absolument pas un cadeau gratuit que le monstre en robe noire accorde à la gente féminine. La justice familiale est un monstre froid qui n’aime les parents que pour sa consommation personnelle, mais non pas pour eux ou leurs enfants. Si ce monstre sans limites ni maître dévore quotidiennement du père, discrimine positivement les mères et prélève les deux parents, c’est par stratégie. Epouser le conformisme féministe lui donne de belles allures : il se tient bien à table. Les formes sont respectées…
Et sur le fond maintenir et conforter ce féminisme discriminatoire obéit à une autre impérieuse règle : pour mouliner, très vite, pour multiplier les affaires, pour sortir les sacs de farine homologués et homogénéisés des familles recomposées, il faut que les rouages soient fiables. Pas de bavures, pas de grains de sable, donc pas de jurisprudence, car sinon deux conséquences terribles viendraient paralyser la machine à normaliser: la clientèle féminine craindrait d’entrer en justice, de peur de ne plus « gagner », et les ce qu’il resterait d« affaires » durerait beaucoup plus longtemps, et rapporterait moins d’argent.
La cruauté ordinaire du lobby le plus conformiste et le plus impuni de France s’abat à présent banalement sur une foule de parents en difficulté. Elle prétend sans vergogne être exercée au nom du Peuple français et dans l’intérêt supérieur de leurs enfants. C’est pourquoi mon nouveau livre ne fera plus référence à « l’impasse judiciaire », mais va bel et bien évoquer l’imposture des gens de droit, qui font tout de travers pour nos enfants et leurs parents, consciemment, comme on exploite sans aucun risque un filon.
Avant de condamner les agissements de toutes ces mères dites abusives, il faut se demander pourquoi elles peuvent abuser, quelles forces les y incitent et pourquoi leur dérive est facilitée par le milieu psycho judiciaire et même policier. Car nous vivons dans une jungle de droits discriminants et légalement organisés, que l’on appelle « état de nature ». L’exemple type est assurément cette organisation méticuleuse de la décomposition familiale avec préférence sexuelle obligée dans les tribunaux…
Des magistrats violent chaque jour les conventions ratifiées
Si tous les magistrats violent chaque jour deux conventions ratifiées (celle des droits de l’Homme et celle des Droits des Enfants), c’est qu’ils sont impunis, et se tiennent les coudes avec les autres intervenants, de manière à satisfaire leur goût du pouvoir, qu’il serait vraiment naïf de confondre avec le désir de justice, à conserver leur travail sans risques, et leurs strates d’honoraires providentiels.
L’ensemble du lobby noir continue également de faire la politique de l’autruche, de jouer son rôle dans ce vaste théâtre, parce qu’aucun devoir de suivi, aucun principe de précaution réel, ne s’oppose à la perpétuation de l’exploitation…
Les verrous se sont multipliés pour empêcher toute amélioration de la situation, pour écraser tout projet social
Les verrous illégaux se sont multipliés pour empêcher toute amélioration de la situation, pour écraser tout projet social et républicain de passer la porte du progrès.
-Souvenons-nous, par exemple, de cet arrêt de cassation (arrêt dit « Lejeune » qui empêcha d’invoquer dans les tribunaux les préceptes d’une convention ratifiée, alors qu’ils s’imposent à tous en dehors de ces lieux d’exercice du droit.
Car les invoquer aurait empêché toute discrimination basée sur le sexe, et toute discrimination entre parents. Cela aurait entraîné que le juge renonce à discriminer, et donc à juger des parents Respecter ces valeurs civilisées fondamentales aurait en conséquence privé le monde des robes noires de sa première source de gains!
-Ou relisons, par exemple, la loi de 2002, dite loi Royal-Ayrault, qui enferme définitivement les parents dans les cabinets d’avocats et les contraint à entrer en procédure pour tout événement familial. A cet égard, le principe de la « résidence alternée » imposée en justice n’est que poudre aux yeux : les parents séparés qui pratiquement ce type de vie familiale ont heureusement échappé à la « justice », et c’est précisément celles et ceux qui ont besoin de la faire peser sur l’autre parent qui devraient se voir purement et simplement interdire ce type de partage égalitariste!)…
Il sera comme d’habitude retenu que la justice manque de moyens
Cette montagne a accouché d’une souris d’ailleurs morte née, puisque sous la pression indécente de ce lobby, il sera comme d’habitude retenu que la justice manque de moyens
(Alors qu’au contraire elle s’investit beaucoup trop dans des missions lucratives mais exorbitantes du droit), que les experts, même mauvais, retrouvent leur job sans risque et sur payé, et que demain nous risquons d’être jugés par encore plus de juges aussi déconnectés des réalités et plus corporatistes et conformistes que jamais…
La justice familiale brise le sens de vivre de dizaines de milliers de gens
Depuis trente cinq ans, sans état d’âme, sans jamais rembourser ni même s’excuser, la justice familiale a brisé le sens de vivre de dizaines de milliers de gens, a brisé la vie de dizaines de milliers d’autres, et tue tous les jours des parents poussés aux réactions extrêmes. N’importe quel médecin serait sous les verrous pour avoir fait dix fois moins de mal à un patient, n’importe quel maire serait sévèrement condamné s’il négligeait autant d’administrés.
La première partie de ce livre se rapportera à ce que j’ai personnellement vécu durant treize ans de résistance. L’acharnement actif et passif des robes noires a failli me coûter la vie, et m’a précipité au bord de l’exclusion sociale. De nombreux textes accompagnèrent mes tentatives de résistance lors des audiences en « justice ». Ils restèrent systématiquement et même scrupuleusement lettres mortes, comme si je n’avais pas écrit, pas déposé mes écrits dans les formes. Comme si je n’existais qu’en tant que perdant et condamné d’avance.
La seconde partie propose des réflexions sur les nouvelles nuisances sociales entraînées par la pollution judiciaire contemporaine, amorale et violant les lois civilisées, ainsi qu’une refonte définitive du droit de la famille, qui replace le monde judiciaire à sa vraie place chronologique dans l’ordre naturel des recours…
Le droit, mais surtout le devoir pour chacun de se révolter contre les injustices et les abus de pouvoir
En effet, la Constitution née de la révolution française a affirmé non pas seulement le droit, mais surtout le devoir pour chacun de se révolter contre les injustices et les abus de pouvoir des institutions ou de ceux qui les représentent…
Tous les pilotes de ces institutions font à présent partie du lobby judiciaire
Car en réalité, tous les pilotes de ces institutions font à présent partie du lobby judiciaire. Il est tellement plus avantageux de faire un discours sur les enfants de « sans-papiers » que sur les millions d’enfants illégalement, injustement, et illogiquement privés de père et flanqués d’une mère artificiellement toute puissante dans la France des Droits de l’Homme au service d’un lobby qui ne peut accepter la fin d’une guerre des sexes qui grossit mieux que tout autre filon leur portefeuille boursier...
Un système qui rend les enfants orphelins de père
Je dénonce donc un système qui rend les enfants orphelins de père actif quel qu’il soit, quoi qu’il ait fait ou fasse, et quoi qu’il veuille faire pour sa famille...
Des officines d’avocats « spécialisés dans le droit de la famille »
A travers quelques écrits rédigés au long de ces années de lutte personnelle et collective (puisque j’ai soutenu des milliers de mes contemporains se heurtant à la néo-barbarie judiciaire), je présenterai également un tableau désastreux de l’involution sociale en cours, de cette fonte des neiges de nos valeurs civilisées, qui paraissent éternelles, et qui s’épandent à présent en eau sale et glacée, évacuées des tribunaux ou des officines d’avocats « spécialisés dans le droit de la famille », pour venir souiller l’ensemble de la population et vicier leur culture…
Quiconque rencontre un problème de santé ne consulte ni un architecte ni une couturière
D’autre part, quiconque rencontre un problème de santé ne consulte ni un architecte ni une couturière. S’il le faisait, son comportement évoquerait un désordre mental.
Pourtant, dans la très grande majorité des cas, qui rencontre un problème de famille se retrouve précipité dans le monde judiciaire. C’est ce qui m’arriva, comme à tant d’autres, voici seize ans.
Toute la société marche sur la tête
C’est donc toute la société qui marche sur la tête. Car aussi vrai qu’un parent n’est pas un délinquant ou qu’un enfant n’est pas un usufruit, la vie de famille ne devrait qu’en bien peu de cas se retrouver d’emblée dans les serres des hommes d’affaires et dans les affres des conflits judiciaires.
Quelques lobbies opportunistes exploitent les difficultés humaines comme jadis on exploitait les mines
Personne ou presque, ne tire la sonnette d’alarme sociale. J’y vois la preuve de notre peur du monde corporatiste le plus puissant et le plus infiltré dans les sphères de pouvoir, et un signe complémentaire de cette folie collective de « justice pour tous». De cette folie qui s’est emparée de nos contemporains, sous la pression, il faut le dire, de quelques lobbies opportunistes qui exploitent les difficultés humaines comme jadis on exploitait les mines…
De fait, filon d’hier contre filon d’aujourd’hui, nous sommes passés depuis trente cinq ans de l’âge des carrières de pierre et des valeureuses gueules noires à celle de l’exploitation des familles en difficulté par les robes noires carriéristes…
Nous sommes entrés dans l’ère des bénéfices secondaires soutirés par la plus sale des guerres modernes, la guerre des parents sous prétexte de l’intérêt de leurs enfants et de la folie des « droits » qui ont terrassé les libertés, les devoirs, ou même les règles de la vie civilisée…
Aucune étude sur les irréparables dommages que les familles puissent endurer par la faute de cette intrusion judiciaire
Aucune étude concernant les conséquences de la main mise judiciaire sur la vie de famille n’est réalisée. Elle est pourtant extraordinaire au plan logique et exorbitée du droit conventionnel au plan du fonctionnement républicain de nos institutions. Ce qui s’applique au commun des mortels ne s’applique donc jamais un juge, un huissier, un avocat, un psy agréé, quels que soient les irréparables dommages que les familles puissent endurer par la faute de cette intrusion judiciaire autoritaire. En fait, le principe de précaution et le devoir de suivi s’arrêtent à la porte des tribunaux, section familiale…
Aucune responsabilité sur les provocations de suicides et d’exclusions
Remarque : alors que les harceleurs sont condamnés lors du suicide de la victime, les faiseurs d’injustices, eux, ne sont jamais inquiétés.
Qu’un homme se suicide en sortant d’un tribunal où il était rentré en espérant rester père ne pose aucun problème à ceux qui l’ont poussé à cette fin. Et pourtant, en trois décennies de capture judiciaire de cette problématique sociale, il y en a eu des milliers…
Que des dizaines de milliers d’autres aient peu à peu été aspirés dans la spirale des exclusions ne fait pas trembler les robes de ces quarante cinq mille hommes de droit, qui martèlent dans leurs publicités se tenir à notre service...
Et que des millions gens vivent à présent la norme imbécile des « droits » parentaux calibrés (selon le sexe parental le plus souvent) avec les pertes progressives de liens familiaux qui découlent de ces mesures autoritaires inadaptées, ce n’est pas non plus le problème d’un lobby qui amasse le plus gros de son chiffre d’affaires par le biais de ces procédures artificielles…
Conditionnement à l’affrontement au lieu d’épaulement vers l’apaisement
Je ne me contenterai pas d’évoquer les incroyables péripéties que ce monde noir m’a fait vivre, puisqu’en tant que militant associatif au service de la socialisation républicaine de la vie de famille, ce livre reprendra quelques-unes de mes analyses sociologiques et propositions concrètes pour prévenir les cruautés ordinaires que cette corporation fait subir à tant de familles en désarroi, conditionnées à l’affrontement au lieu d’être épaulées vers l’apaisement…
L’irresponsabilité et l’inimaginables ! On ne peut pas imaginer ça dans notre société !
Jamais je n’aurais imaginé que tout ce qui m’est advenu soit possible dans notre pays. Quand je vois à présent un homme « sans domicile fixe », quand j’entends parler d’un autre qui vient de se suicider, pris dans la spirale infernale, quand j’assiste impuissant à un meurtre familial, je sais à présent que le milieu judiciaire s’en lave les mains, tel Pilate, et parle inlassablement de « forcené », de « drame du divorce », de « crime passionnel » ou de « maladie mentale »…
Résister pour ne pas se supprimer
J’ai résisté peut-être parce que j’ai eu le réflexe d’aider des milliers d’autres, connaissant ces mêmes épreuves, peut-être parce que médecin, j’ai appris à supporter et à ne pas me plaindre, à aider et proposer, peut-être parce que j’ai voulu aller jusqu’au bout avant de démissionner. J’ai résisté parce qu’au dernier moment, je me suis dit que me supprimer serait encore pire pour ma famille…
…Car au-delà de la perte des illusions, c’est bien le naufrage des espoirs humains qui est programmé.
Tout se passe comme si être père de famille ici et maintenant, et vouloir le rester, expose à la perte de responsabilités, du sens de vivre, au déshonneur, à l’exclusion, au suicide, selon que vous abandonnez tout de suite, ou plus tard, ou jamais, face à un lobby intouchable qui profite de vos difficultés, et même qui les exacerbe afin de mieux en profiter. Ma conviction est faite à ce sujet : l’Homme se plie très souvent aux conditionnements auxquels il est soumis. Notre société conditionne les hommes à démissionner de l’essentiel, ne les aide absolument pas, et pousse les femmes à se sentir toutes puissantes avec l’aide du monde judiciaire et psychologisant agréé, les deux grands bénéficiaires de tous les désordres sociaux…
Recours impossibles afin de protéger le dysfonctionnement judiciaire
Il est intéressant de noter que depuis quelques années, les jugements de séparations parentales ne peuvent plus donner lieu à un recours en cassation et que quiconque s’adresse à cette commission européenne pour ce type de problème social judiciarisé se voit répondre la même chose…Comment mieux prouver la volonté d’un lobby de protéger son propre fonctionnement normalisateur et prédateur ?...
Refus d’application de la Convention des Droits des Enfants et la non discrimination des parents
Alors que je demandais l’application de la Convention des Droits des Enfants et la non discrimination des parents, la juge, très agacée, fit tomber une pile de documents de son estrade, et les avocats en fond de salle firent un chahut très révélateur. Cette magistrate tint à écrire dans l’ordonnance que c’était « évidemment en conformité avec cette convention » que le jugement était rendu (alors qu’un arrêt de cassation interdisait de l’évoquer directement. Ce monde professionnel n’en est pas à une transgression près pourvu qu’il en profite)...
Discriminations légalisées
Inutile également de contacter la « HALDE », structure (En France) récemment créée par le président de la République : cette « Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations et pour l’Egalité », dont l’un des présidents est aussi vice-président de la cour de cassation, ne veut pas entendre parler de cette discrimination là, certes la plus banale de toutes, mais non sujette à critique puisque c’est une discrimination légalisée!...
Une justice indigne d’un pays civilisé
Quand j’écrivis, bien avant Outreau (En France), à un collège de trois magistrates qu’elles et tant d’autres ont fait de la justice une machine indigne d’un pays civilisé, avant tout en s’accaparant une problématique qu’il était illégal et non civilisé d’avoir capté, et que je le fis avec des termes que des centaines d’autres ont depuis repris après analyse du massacre d’Outreau, je fus condamné pour « outrage à magistrats »…
Actes de bassesses sous couvert de la loi
Or, quand on peut commettre des bassesses sans danger et sous couvert de la loi, bien peu résistent à la facilité de l’exploitation de l’homme par l’homme, et certains, plus nombreux que l’on croit dans une corporation sans morale, y prennent même un plaisir pervers. Il ne faut pas vivre en 1940 pour cela : exploiter les autres sans danger, et sous couvert d’une idéologie, est l’un des deux métiers les plus vieux du monde…
Juges et auxiliaires de justices, esprits de malfaisance sociale
Zola accusait « les esprits de malfaisance sociale », condamnant à Rennes un peuple à travers un homme, parce qu’il était juif. « Je ne les connais pas », écrivait-il…
Il suffit aux femmes de claquer des doigts car les juges n’aiment pas les pères
J’étais déboussolé, culpabilisé, mais encore amoureux. Je m’arrangeai d’autre part pour que mon fils rencontre sa mère à mi-temps. C’est exactement au moment où son amant fut soulagé des démarches de son divorce qu’elle m’informa souhaiter « clarifier » la situation de notre enfant, m’annonçant, je la cite, « que les juges n‘aiment pas les pères » et « qu’elle n’aurait qu’à claquer dans ses doigts pour que je perde tous mes droits » (cette menace limpide était survenue parce que je lui avais solennellement demandé, en privé, de ne pas exhiber leur sexualité devant mon fils de trois ans, qui en était très perturbé. Cet avertissement n’eut pas l’heur d’être apprécié par le « psy » décrit comme « spécialiste des enfants », ni par leur avocat commun)…
On ne connaît les gens que quand ils vous quittent
(…) on ne connaît les gens que quand ils vous quittent, à la façon dont ils le font, avec les complicités qui sont ensuite les leurs pour vous détruire, ou à défaut vous réduire pour vous exploiter…
Pour commander gratuitement le manuscrit
Le manuscrit de Pascal DAZIN (par courriel électronique Microsoft Word Document 662 Ko – 154 pages A4) est disponible en écrivant à Pascal DAZIN : pascal.dazin@wanadoo.fr (uniquement en ce moment et avant la publication en Librairie).
Nous ne pouvons pas tolérer tant de dysfonctionnements !
Nous devons réagir si nous sommes humains.