Moi, Mirabeau WATERLOO*, je dénonce cette justice qui viole la dignité humaine et encourage le mensonge, en réfutant le droit à la défense de ceux qu’elle juge.
1993/1996 - Cadre commercial pour une multinationale de salon de cuir haut de gamme, j’étais très apprécié de mes patrons et de mes collègues. Je réalisais un bon chiffre d’affaire et je gagnais correctement ma vie. J’étais l’époux d’une femme alcoolique et infidèle qui voyait venir le divorce à ses tors. Mais elle tenait à ma villa, dont elle avait décidé de m’éjecter.
Mon fils aîné, Alain avait 26 ans, et vivait depuis ses 17 ans ½ chez sa grand-mère maternelle Mme POGNON, pour pouvoir poursuivre plus facilement ses études à Bruxelles. Ma fille Vinciane avait 25 ans et vivait maritalement à Bruxelles depuis ses 18 ans. Ma fille Valérie avait 17 ans. Elle avait un studio de 4 m x 5 m pour elle seule dans notre villa, avec un canapé-lit de deux personnes, une télé, une chaîne HIFI et invitait souvent une copine pour loger.
Je venais de découvrir que sa mère tolérait à mon insu, que Valérie brossait les cours, ce qui expliquait un décrochage scolaire. J’avais décidé de mettre mes trois mineurs au pensionnat, comme pour Alain, afin de les protéger de leur mère. David et Alexandra n’avaient que 9 et 10 ans. Ils étaient trop jeunes pour supporter cette ambiance.
L’impensable est apparu dans les conclusions pour la demande en divorce de Mme PINARD : l’horreur des déclarations d’une adolescente qui poignarde son père pour ne pas aller au pensionnat. Ma fille Valérie a écrit :
- « Depuis que j’ai environ 14 ans, mon père me « colle » sans cesse… Il me chipote sans cesse c’est à dire qu’il me caresse les jambes, me chatouille, me pince les fesses. Ce sont vraiment des attouchements sexuels. Je dois toujours le repousser… il voulait m’embrasser sur la bouche. Je précise qu’il agit de la sorte avec ma petite sœur de 10 ans. Quand je suis à la maison, je suis d’ailleurs toujours dans ma chambre pour ne pas le voir et afin qu’il ne me « colle » pas sans cesse… »
Jamais je n’aurais imaginé toucher une de mes filles. Vinciane le savait et m’a remis toutes les lettres de sa sœur Valérie, qui lui racontait une aventure amoureuse avec un jeune homme, puis lui disait que « papa est gentil et ne sait que faire pour maman, qui boit 4 litres de vin par jour et elle, n’est pas gentille avec lui… ». Elle racontait donc un détournement de mineur qui présume qu’elle n’ignorait en rien les modalités du harcèlement sexuel, dont elle m’avait accusé. Elle avait décidé de me sacrifier pour continuer à vivre sous la tutelle d’une mère dépravée, qui fermait les yeux sur ce que je n’admettais pas.
Mais Mme RINCHON, assistante sociale du Juge de la Jeunesse LOBET, a refusé de lire les lettres de Valérie, sous prétexte qu’elle « ne pouvait pas trahir son intimité ». Cette jeune fille de 17 ans allait donc pouvoir m’accuser d’abominations, me priver de mes enfants cadets, mais surtout, les priver de l’équilibre que je pouvais leur apporter, face à une mère constamment ivre.
Comprenne qui pourra !!!!
La question se pose sur la logique de cette déclaration, quand on lit le témoignage d’une enfant réellement abusée, ainsi qu’en témoigne une femme éducatrice :
- « Lorsqu’elle avait 12 ans, hébergée en Famille d’Accueil, lorsqu’elle était seule dans sa chambre, une fille se faisait « chipoter » par le fils (d’âge majeur) de la Maîtresse de la Maison. Elle évitait donc d’être seule dans sa chambre pour que le fils n’en profite de monter pour la rejoindre et la « chipoter ».
Si Valérie passait toute la journée, seule, dans sa chambre, c’est bien parce qu’elle s’y sentait en sécurité, à écouter sa musique et regarder sa télévision, en parfaite connaissance que je n’y viendrais pas pour poser la main sur elle. Jamais elle ne s’est plainte de moi à sa sœur. ?
Mon fils, qui ne vivait plus à la maison depuis neuf ans, a écrit une longue lettre, où il décrit des faits qui se sont déroulés en son absence. Il répète sans moindre honte ce que sa mère lui dicte, et non ce qu’il a pu voir. Ainsi, la justice a conclu sans débat contradictoire que mon fils…
- « a rédigé une lettre à l’attention de Monsieur le Substitut de Procureur du ROI et dans laquelle il dénonce avec force les agissements du défendeur (Mirabeau Waterloo) tant passé qu’actuels, à son égard et à l’encontre de tous ses frères et sœurs… »
Le commissaire-adjoint FRIQUET est également intervenu dans mon couple en crise, en se substituant tour à tour, en expert comptable et en psychologue, alors que je ne l’avais jamais rencontré, ni eu affaire à la police.
Il s’est contenté, dans son procès verbal d’information du 6 janvier 1994 « à la demande de Monsieur le Procureur du ROI » d’un entretien de plus de 2 heures avec la femme dont j’étais en instance de divorce et avec mon fils aîné, pour rédiger un tissu de déclarations mensongères.
Le commissaire-adjoint FRIQUET m’a transformé en « magasinier » qui percevait un salaire mensuel de 40.000 BEF à mi-temps et 22.000 BEF de chômage. En réalité, un accident m’avait causé une invalidité à plus de 66% et ne me permettait plus de travailler qu’à mi-temps. Mon salaire était de 15.000 BEF, additionné d’une commission sur chiffre d’affaire et d’une pension d’invalidité.
Il ajouta : « … que WATERLOO Mirabeau a un comportement anormal et dangereux à l’égard des enfants et de son entourage en général. (…).Nous connaissons WATERLOO Mirabeau depuis des années. Nous apercevons chez cet individu une régression constante de son comportement. Nous le connaissons comme un être rustre et sujet à des crises de colères… présentant une tendance générale de trouble de la personnalité schizoïde.»
Je serais également « haineux et vindicatif », selon le commissaire-adjoint FRIQUET, ce qui correspond au caractère de mon ancienne épouse, que je n’ai supporté qu’en croyant faire le bien de mes enfants. J’ai au contraire, le profile d’un cadre commercial et négociateur en vente aux particuliers, qui se doit d’avoir une attitude souple, correcte et constante envers des centaines de clients, s’il veut réaliser un bon chiffre d’affaire.
Ce PV d’enquête, rédigé uniquement sur base de déclarations mensongères proférées dans le but de me voler ma villa et de me nuire, a été transmis au Procureur de Roi. Il est apparu dans la procédure de divorce, prononcé en mon absence à la suite d’une « erreur administrative », dont la convocation fut envoyée à une mauvaise adresse. Mon ancienne épouse a pu me mettre à la rue et me voler tous mes biens. Elle a également obtenu, par une « erreur administrative » supplémentaire, une pension alimentaire de 5.000 euros par an de plus que je devais payer par la loi et m’a fait saisir mon allocation d’invalidité.
Alexandra, ma fille cadette sait parfaitement que je ne l’ai jamais touchée et que sa sœur a menti à ce sujet. Valérie maintient son mensonge monstrueux mais qui épouserait une femme qui a menti sur son père, pour pouvoir continuer à brosser les cours ? De quoi va-t-elle accuser son mari, quand elle voudra s’en débarrasser ?
Je dénonce une « justice » qui encourage le mensonge !
Je rends hommage à JP que j’ai bien connu et qui est mort d’avoir mis des enfants au monde. Sans oublier les autres pères qui ont traversé mon chemin et qui ont subi le même sort.
Doit-on médiatiser l’impensable horreur sociale ? Des millions d’êtres humains ont été victimes du LEGAZISME, mais beaucoup en sont morts et ne pourront plus jamais rien dire.
Il faut dénoncer ces abominations !
* Les noms des gens de lois sont bien réels, mais les noms de mon ex-famille et de moi-même ont été modifiés, pour que justice se fasse.