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Droit fondamental des parents, des enfants, à un logement suffisant, à la dignité humaine…

Le SAP dans les basses-cours de Justice ?

Qu’est ce que le SAP ?

Nouvelle version du 17 février 2008

 

C’est à notre avis un acronyme de signification multiple, une abréviation globalement floue, et donc au final un sigle errant, comme on le verra en toute fin d’exposé.

 

Tout d’abord, qu’est-ce qu’un syndrome ? C’est une maladie que l’on va pouvoir affirmer en retrouvant  un nombre suffisant de symptômes bien définis.

 

Dans le cas qui nous occupe, cependant,  un seul symptôme va suffire : il faut Y CROIRE, voire même FAIRE SEULEMENT MINE D’Y CROIRE (cf infra, le Syndrome d’aliénation parentale) .

 

Et pour accréditer ensuite le syndrome dans l’opinion, il faut DISPOSER D’UN RESEAU D’INFLUENCE (même exemple).

 

Venons en au corps de l’étude : le SAP en tant que concept errant.

 

-Le Syndrome d’Aliénation Paternaliste (SAP) a fait en occident les ravages qu’on sait durant près de deux millénaires.

Jamais en effet, sans l’aliénation à leurs pères respectifs, nous n’aurions subi par exemple les musiques de Beethoven, Mozart, ou autres Bach.

 

Il aura fallu attendre Sigismund Freud, qui avait longuement étudié le Syndrome d’Aliénation Phallique (SAP),  pour comprendre que cette aliénation s’appelait psychorigidité chez les hommes, et hystérie de conversion chez les femmes.

 

-Mais hélas les soins apportés aux malades mentaux atteints de névrose sapienne fit dériver l’homo sapiens sapiens primitif vers le stade de homo sapiens sapé secondaire : une fois la conversion opérée, le transfert se figeait vers la psychanalyse :

 

-le Syndrome d’Aliénation Psychanalytique (SAP) venait supplanter le syndrome d’aliénation paternaliste.

 

Les cabinets psys émergeaient, afin de soigner les nombreux malades du paternalisme, dans le respect d’une nouvelle religion d’état : le féminisme.

 

-C’est à cette époque que le Syndrome d’Aliénation Populaire (SAP) au capitalisme fut lui aussi une nouvelle pathologie clairement identifiée par Karl Marx. Les masses prolétariennes étaient à cette époque aliénées par la puissance des grandes fortunes. Les choses se sont bien arrangées depuis, puisque les partis représentatifs de cette lutte contre cette forme d’aliénation n’ont plus guère d’écho, ayant efficacement rempli leur mission d’assainissement.

 

-Au contraire de la prise en charge par les masses de l’aliénation populaire, le Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP) est à ce jour diagnostiqué par quelques experts agréés par les tribunaux ( choisis par eux en reconnaissance de leurs qualités intellectuelles, morales et scientifiques qui en font légitimement une élite intouchable). Ce conditionnement touche les enfants victimes du déséquilibre de l’influence apportée par chacun de leurs deux parents, rarement en couple, beaucoup plus souvent judiciarisés sous prétexte de rupture conjugale. Le traitement passe par une Procédure (SAP), à seule fin de déporter l’aliénation vers une autre.

 

On voit actuellement poindre le Syndrome d’Aliénation Paritaire, initiative para sectaire, qui fait ordonner l’égalité entre parents, alors que c’est précisément en entrant dans un tribunal qu’ils doivent légalement en ressortir inégaux.

 

Les aliénations peuvent donc, suivant les époques, voire même suivant la technicité élitiste de leur prise en charge, concerner le gros des justiciables ou la fleur de sel de la société des non-justiciables : l’aliénation dépasse donc tous les clivages, et se trouve être le principal facteur de cohésion des individus organisés en corporations, mais  dans l’incohérence sociale générale:

 

 il s’agit, chacun l’aura reconnu avec aisance,  du Syndrome d’Aliénation Permanente des opprimés aux oppresseurs.

 

-Quelques chercheurs bénévoles mènent actuellement des travaux :

 

-sur le Syndrome d’Aliénation Physique (cette nouvelle forme de dépendance à l’apparence physique, qui a fait dire à notre président de la république se déplaçant chez des ouvriers en désarroi  que « c’est beau l’Italie », qu’il faut moraliser les petits enfants, et les responsabiliser au sujet d’un génocide que lui-même n’a pas connu, ce qui nous ramène au syndrome d’aliénation politicienne),

-sur le Syndrome d’Aliénation Platonicienne (celui qui fait croire à des vedettes télé surfant sur les vagues politiciennes ou à des ministres qu’ils seraient philosophes) ,

-sur le syndrome d’aliénation politicienne (qui s’est marqué en France par une affluence massive, tout à fait symptomatique, dans les urnes pour élire un avocat qui multiplie les effets d’annonce comme des incidents de procédure, et impose des idées qui ne coûtent rien afin de faire diversion et ne pas se pencher sur de vraies problématiques sociales),

-et sur le Syndrome d’Aliénation Populiste (variante de la pathologie précédente, mais qui semble s’éteindre d’elle-même).

 

Aucun travail n’est par contre prévu sur le Syndrome d’Aliénation Procédurière (on ne change pas une équipe gouvernementale qui gagne, et une opposition qui gagne elle aussi  à taire le problème. Une petite commission gouvernementale avait d’ailleurs été formée quand il fallait étouffer l’affaire d’Outreau, partie émergée de l’iceberg de ce syndrome. Mais l’avocat la présidant, en cette époque d’Aliénation Présidentielle, avait d’emblée affirmé sur les ondes, du moins si j’ai bien compris, que nous avions une justice si vile de très grande qualité, ce qui pourrait amener des travaux sur le Syndrome d'aliénation aux Paradoxes).

 

Cet inventaire ne se prétend pas exhaustif. Mais il me semble néanmoins suffisant pour mieux comprendre que les concepts errants ne sont pas du tout écologiques.

 

Car si l’on veut bien se souvenir que les flatulences des ruminants participent activement à l’effet de serre, on ne peut que mieux méditer l’adage salubrement contestataire suivant, qui m’apparaît largement valoir toute « étude psychologique »  sur les nombreux SAP :

 

« Quand le SAP erre, l’hippo pète ».

 

(s) "Un médecin, responsable associatif, militant pour la déjudiciarisation des problématiques sociales".

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W
Aliénation parentale, abus psychologique de l’enfant et DSM-5<br /> <br /> Le concept de l’aliénation parentale – désamour d’un enfant envers l’un de ses deux parents à la suite d’une séparation du couple parental –, fait polémique. <br /> <br /> Pourtant, sa reconnaissance est d’autant plus essentielle qu’elle nécessite une réponse psycho-juridique adaptée, sous peine d’irréversibilité. <br /> <br /> Les experts psychiatres éprouvent moins de difficultés à se trouver confrontés aux affaires […]<br /> <br /> Le concept de l’aliénation parentale – désamour d’un enfant envers l’un de ses deux parents à la suite d’une séparation du couple parental –, fait polémique. Pourtant, sa reconnaissance est d’autant plus essentielle qu’elle nécessite une réponse psycho-juridique adaptée, sous peine d’irréversibilité.<br /> Les experts psychiatres éprouvent moins de difficultés à se trouver confrontés aux affaires criminelles qu’à un divorce hautement conflictuel.<br /> Là, les projections sont impossibles et les « dossiers » passionnants au plan criminologique ; ici, au contraire, l’expert se trouve confronté à un couple que l’amour a déserté, dont la séparation peut mêler les juridictions civile et pénale.<br /> <br /> Dans un « divorce pathologique », si les individus pris un à un sont exempts de pathologie psychiatrique, les relations sont pathologiques, infiltrées de haine voire de dégoût. <br /> Sous cet angle, la raréfaction du divorce pour faute n’a rien changé : c’est dans ce contexte, marqué par la défiance et le doute sur la compétence parentale de l’autre, qu’intervient l’expert psychiatre, dont la mission, il faut bien le reconnaître, est parfois assez proche… de celle du juge : il s’agit en effet de faire des préconisations en matière de garde et de droit de visite.<br /> <br /> Télécharger l’article complet au format pdf<br /> http://paulbensussan.fr/wp-content/uploads/2018/02/Encéphale-2017-Aliénaton-parentale.pdf  <br /> <br /> ► Aliénation parentale, abus psychologique de l’enfant<br /> Les experts psychiatres éprouvent moins de difficultés à se trouver confrontés aux crimes les plus terribles qu’à un divorce hautement conflictuel. <br /> <br /> Là, les projections sont impossibles et les « dossiers » passionnants au plan criminologique ; ici, au contraire, l’expert se trouve confronté à une famille, mais aussi à un couple, dont il est impossible d’ignorer qu’ils se sont aimés autrefois... Et dont la séparation peut pourtant être hautement conflictuelle, pouvant même mêler les juridictions civile et pénale. <br /> <br /> Nous ne détaillerons pas les différentes pathologiques psychiatriques pouvant compliquer le cours d’une séparation : elles sont connues de tous et ne comportent, au plan de la procédure, aucune spécificité. <br /> <br /> Nous évoquerons en revanche les « divorces pathologiques » dans lesquels, si les individus pris un à un sont exempts de pathologie psychiatrique décelable ou évolutive, les relations systémiques sont infiltrées de pathologie, inextricablement liées à la haine ou au dégoût. Sous cet angle, la raréfaction du divorce pour faute n’a rien changé : c’est dans ce contexte, marqué par la défiance et le doute sur la compétence parentale de l’autre, qu’intervient l’expert psychiatre, dont la mission, il faut bien le reconnaître, est parfois assez proche. . . de celle du juge : il s’agit ici de faire des préconisations en matière de garde et de droit de visite.<br /> <br /> Parmi les situations conflictuelles et inextricables le plus souvent rencontrées en pratique expertale, le syndrome d’aliénation parentale (SAP) désormais appelé aliénation parentale (AP), désigne l’ensemble des manifestations psychopathologiques observées chez les enfants soumis à des séparations parentales très conflictuelles, en premier lieu le rejet injustifié ou inexplicable d’un parent par un enfant (voire par une fratrie)<br /> <br /> Cette entité récemment décrite suscite polémiques et controverses : certain(e)s vont jusqu’à nier l’existence même du phénomène, au motif qu’il ne figure pas dans les classifications internationales des troubles psychiatriques. <br /> De fait, il n’a pas été intégré dans la dernière édition du DSM et ne figure pas dans l’ICD, classification de l’OMS, dont la 11e édition est en cours d’élaboration. <br /> <br /> Il importe de faire soigneusement la part, dans le rejet ou le déni dont cette pathologie fait l’objet, des faiblesses du concept scientifique et de la dimension purement passionnelle, incluant les polémiques sexistes. <br /> <br /> L’auteur évoque différentes définitions de l’aliénation parentale, dont la plus actuelle est sans doute la moins polémique.<br /> Il revient sur les causes du rejet du concept par le Comité scientifique du DSM-5. Rejet qui n’est toutefois qu’apparent : si les termes « aliénation parentale » ne figurent pas, nous montrerons que la notion se retrouve clairement dans au moins deux chapitres de la nouvelle classification américaine des troubles mentaux.<br /> <br /> ► Lire tout l’article paru sur Elsevier<br /> http://paulbensussan.fr/wp-content/uploads/2018/02/Encéphale-2017-Aliénaton-parentale.pdf
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W
Les pervers narcissiques<br /> Les juges aux affaires familiales, régulièrement confrontés aux séparations hautement conflictuelles, sont les premiers à reconnaître l’extraordinaire « succès » médiatique du concept de perversion narcissique. <br /> Cette entité pathologique ne risque-t-elle pas d’être dénaturée par une trop large utilisation ? <br /> Quelle est, au fond, la différence entre un « salaud » et un pervers narcissique ?
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W
Des négativistes du SAP... tels Marie-Christine Gryson-Dejehansart, comme Jacqueline Phélip (Sage-Femme et Présidente de ''l’Enfant d’abord'') & le Dr Maurice Berger de « Divorce et séparations, nos enfants sont-ils protégés ? » (Dunod 2011)... et comme bien d'autres activistes ''Pro-Mères''... (Anti-Pères') qui ignorent que depuis pas mal de temps, beaucoup de mères sont faussement accusées et privées injustement de leurs enfants, sans qu'elles n'aient abusé leurs enfants sur le plan sexuel,... ni de les avoir violenté !!!<br /> <br /> En effet, comme les mères le firent depuis des lustres, de nombreux pères... pour bénéficier d'avantages financiers non négligeable, aliènent leurs enfants, en leur supprimant leurs liens affectifs avec leurs mères... <br /> <br /> Marie-Christine Gryson-Dejehansart prétextant, en faux, que ''la vérité judiciaire des victimes a été remplacée par la vérité médiatique du Dr Paul Bensussan (entre autres) qui a évoqué dans de nombreuses émissions et articles, le mensonge des enfants d’Outreau sans les avoir examinés et qui est aussi... est-il utile de le préciser une fois de plus, le promoteur du SAP en France ?<br /> <br /> En consultant son CV, l'on peut être impressionné par ''ses spécialités'' et son activisme contre la maltraitance et les abus sexuels sur les enfants...<br /> Mais, elle prétend que les enfants ne mentent pas !?!... Il s'agit bien d'une personne qui croit, à tort que les enfants ne mentent jamais... <br /> <br /> Marie-Christine Gryson-Dejehansart ignore totalement que la RA (Résidence alternée) permet de résoudre efficacement les problèmes de ''syndrome d'aliénation parentale'', de ''syndrome de Médée'', et autres troubles / symptômes (voir DSM5) liés aux dysfonctionnement dans les couples en conflits (Triangulation), et ce, même lorsque les 2 Parents sont tous les deux en conflit ! Ce qui n'est pas toujours le cas, comme elle veut le faire croire !<br /> <br /> Partout, il y a des contestataires sur des tas de sujets : la pollution, le réchauffement climatique,... comme, ici, sur le SAP, ou sur l'AP... alors que les symptômes du SAP ou de l'AP ont été inscrits dans le DSM5, publié en 2013.<br /> <br /> Marie-Christine Gryson-Dejehansart me fait penser à tous ces gens, qui, aux siècles passés, prétendaient que la Terre était plate ! <br /> <br /> À défaut de parler de l'aliénation parentale, dont plusieurs avocats la contestent (mal conseillés par des négativistes (tels Marie-Christine Gryson-Dejehansart et consorts) disant que l'AP n'existe pas... et à défaut... il suffit de plaider, au pénal, de l'abus de faiblesse sur enfant qui est un Délit suivant l'Art 442 du Code pénal en Belgique, et suivant l'Art 223-15-2 en France... pour ''sujétion psychologique ou physique'',... où sous la plaidoirie d'un avocat, le juge à Anvers (Belgique) avait condamné une mère qui empêchait ses enfants de voir leur père... <br /> <br /> C'est un bon exemple de plaidoirie ! Non ? <br /> Parlez-en à vos avocats...<br /> <br /> Le sujet :<br /> ''Meurtre psychique du père envers ses enfants''<br /> Sources et texte original: F4J Belgium <br /> Traduction française :<br /> ''À Anvers, c’est pas très sympathique d’envoyer une mère de deux enfants en taule. <br /> Un juge anversois a condamné ce vendredi C… (38 ans) à une peine de prison d’une année ferme pour le motif de «meurtre psychologique» sur son ex compagnon. <br /> C’est le résultat obtenu à la suite d’un effroyable divorce qui a éloigné les deux filles (actuellement 12 et 14 ans) de leur père en étant placée et qui doivent aller à l’école en taxi. <br /> <br /> Le procureur a parlé d’un «meurtre psychologique» à l’égard du père, et ce, au moyen d’«empoissonnements émotionnels» (de la part de la mère) sur des enfants.''<br /> <br /> De plus... en 2013, les symptômes du SAP (aliénation parentale) sont inscrits dans le DSM-5 !<br /> <br /> Texte traduit de l’anglais par Dr. Paul Bensussan, psychiatre, expert national<br /> http://www.paulbensussan.fr<br /> <br /> Message de William Bernet, M.D.<br /> Professor Emeritus, Department of Psychiatry<br /> Vanderbilt University School of Medicine - Nashville, Tennessee<br /> à tous les membres du Groupe International de Travail sur l’Aliénation Parentale<br /> <br /> Le DSM-5 a été enfin publié (le 18/5/2013).<br /> <br /> Les experts du Groupe de travail du DSM-5 nous avaient dit il y a 2 ou 3 ans qu'ils ne voulaient pas que l'aliénation parentale figure comme un diagnostic séparé dans le DSM-5, mais qu’ils avaient pensé que l'aliénation parentale pourrait être considérée comme un exemple dans d'autres diagnostics qui sont dans le DSM-5. Les termes "aliénation parentale" ne figurent pas dans le DSM-5, mais plusieurs diagnostics peuvent être utilisés dans ces situations. Je dirais que l '«esprit» de l'aliénation parentale est dans le DSM-5, même si les mots n’y sont pas.<br /> <br /> Le « Problème relationnel Parent-Enfant » dispose désormais d'un chapitre dans le DSM-5, et pas seulement d’une étiquette. La discussion explique que les problèmes cognitifs dans un problème relationnel parent-enfant « peuvent inclure des attributions négatives aux intentions de l'autre, de l'hostilité envers l’autre ou la prise de l’autre comme bouc émissaire, ainsi que des sentiments d'éloignement injustifiés." C'est une assez bonne description d'un enfant du point de vue du parent aliéné, même s'il s'agit d'une utilisation malheureuse du mot «éloignement».<br /> <br /> « Abus psychologique de l'enfant » est un nouveau diagnostic dans le DSM-5. Il est défini comme « actes non accidentels de violence verbale ou symbolique de la part d’un parent ou d’un adulte proche, qui ont pour résultat, ou qui ont potentiellement pour résultat, un dommage psychologique significatif chez l'enfant." Dans de nombreux cas, le comportement du parent aliénant constitue un abus psychologique de l'enfant.<br /> <br /> « Enfant affecté par une relation parentale en détresse » est un autre nouveau diagnostic dans le DSM-5. Il doit être utilisé "lors de l’examen clinique d’un enfant dans la famille, si la discorde parentale (par exemple, des niveaux élevés de conflit, de détresse ou dénigrement), a des effets négatifs sur l’enfant dans sa famille, y compris avec des effets inducteurs de troubles psychiques ou physiques chez l'enfant. " C'est également une bonne description de la façon dont l'aliénation parentale apparaît.<br /> <br /> « Trouble factice imposé à un autre » est la terminologie du DSM-5 pour « trouble factice par procuration » ou « syndrome de Münchhausen par procuration ». Sa définition est : " falsification de signes ou de symptômes, physiques ou psychologiques, ou induction de blessure ou de maladie, chez un tiers, associée à une tromperie identifiée." Dans certains cas, cela pourrait décrire le comportement du parent aliénant.<br /> <br /> « Symptômes délirants chez un individu partenaire d’un individu avec un trouble délirant » est la terminologie du DSM-5 pour « trouble psychotique partagé » ou « folie à deux ». La définition est : « Dans le contexte d'une relation, la thématique délirante du partenaire dominant fournit un contenu de croyance délirante chez l'individu qui pourrait autrement ne pas répondre entièrement aux critères du trouble délirant».<br /> <br /> On peut dire en conclusion que le concept de l'aliénation parentale figure clairement dans le DSM-5, bien que les mots exacts n’y soient pas. C'est une grande amélioration par rapport DSM-IV-TR, surtout avec l'ajout des nouveaux diagnostics : « abus psychologique sur enfant » et « enfant affecté par une relation parentale en détresse ».<br /> <br /> à suivre...<br /> <br /> ► Alors ? Qui ont raison ? Tous ces médecins, bons spécialistes du SAP ? Ou bien, ces contestataires dont leurs formations scientifiques nous font poser pas mal de questions ! <br /> <br /> ► Nous devrions TOUS écrire (un courriel) à cette curieuse spécialiste que cette Marie-Christine Gryson-Dejehansart pour l'informer ! Non ? <br /> <br /> Ne vous laissez pas manipuler comme nos enfants le sont tous !
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W
En Belgique, (comme ailleurs?) les services d'aides à la jeunesse (SAJ) et les services de protections de la jeunesse (SPJ) ne réagissent pas comme il se doit dans les situations où des enfants sont en danger à la suite de manipulations-destructrices (aliénation parentale) ► c'est-à-dire à la suite d'une très mauvaise de la part d'un parent, principalement gardien principal de l'enfant, qui manipule l'enfant afin de renier,... haïr son père, ou bien sa mère !<br /> Les situations ''d'aliénation parentale'' (et de mauvaises éducations) perdurent, donc, depuis trop longtemps. <br /> En cause les fausses accusations portées contre l'un des 2 Parents, non-gardien .<br /> En prétendue ''justice'', en matières de conflits de séparations ou de divorces, les fausses accusations, sans preuves, sont entendues comme étant des paroles d'évangiles ! Ce qui est intolérable !<br /> Depuis 1994, nous estimons à 95 % de fausses accusations permettant les ''Parentectomies'' injustifiées.<br /> <br /> Nous estimons que la ''justice'' dispose d'un critère simple, objectif, infaillible, incontestable... pour identifier le SAP (Aliénation parentale), et comme SIGNAL d'ALARME : c'est la non-représentation d'enfant (NRE) !!!... <br /> En effet, un bon parent doit dire à son enfant (qui ne désire pas quitter son petit univers auprès de sa maman) : <br /> ► ''Tu dois aller ce WE (ou cette semaine) chez papa. Si tu n'y vas pas, je risque la prison''. <br /> Voilà une bonne maman, qui est une bonne éducatrice.<br /> Un bon parent, bon éducateur, ne manipulera jamais son enfant pour qu'il rejette,... haïsse son père, ou sa mère.<br /> Ce critère de ''mauvaise éducation'' a le mérite d'être un fait incontestable !!!... Si, toutefois, un jugement existe pour spécifier les modalités d'applications, après rupture !<br /> Alors ? pourquoi le SAP/ TAP / SDM ... et la ''mauvaise éducation'' (incitations à la haine) sont-ils si peu identifiés ? reconnus ? et non-sanctionnés par la ''Justice'' ?<br /> Cherchez l'erreur !<br /> (CDDP - Recherches - Études - Communications 1994)
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K
Mon cher Michel,Garde cet humour décapant ou hilarant, c'est selon, qui est une source de jouvence inépuisable comme chacun(e) d'entre nous le sait.Tout petit, les vieux (sages forcément ?) m'avaient déjà appris ceci :  "Quand les éléphants se battent, c'est l'herbe qui souffre". A présent j'ai appris également que "Lorsque le SAP erre, l'hippopotame pète." Excellent pour le moral...AmitiésJM KANINDA, MD
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