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5 octobre 2007 5 05 /10 /octobre /2007 17:14


viedeperes.pngMichel était responsable commercial pour une multinationale. Il tenait son mariage à bout de bras depuis vingt-cinq ans, qua
nd sa femme demanda le divorce en l'accusant de pédophilie. Elle alla dans une maison d’accueil pour femmes battues, revenait en disant que la vie y était impossible, puis elle recommençait.

Le fond du problème était un alcoolisme aigu, selon le psychologue. Elle demandait à son cadet de cacher les bouteilles de vin dans la haie du jardin, de manière à ce que son mari ne puisse imaginer qu'elle en buvait quatre par jour, ce qu'elle complétait de cocktails de tranquillisants et d’antidouleurs en vente libre, pour en activer l'effet.

Les cinq enfants étaient difficiles. Les résultats scolaires étaient mauvais. L'aînée des filles avait quitté la maison en qualifiant sa mère de monstre. Une mère maîtresse en l'art de l'aliénation parentale, selon elle, qui faisait vivre une vie d'enfer à ses enfants tout en s'assurant qu'ils craignent leur père, en le blâmant de son alcoolisme.

Michel découvrit ses deux cadets en train de jouer dans l'excavation d'un building en construction, au risque de glisser dans le sable de la tranchée et tomber dans des trous béants. Puis, il découvrit une vingtaine de mots de sa femme adressés à l'école de sa fille de 17 ans, pour l’excuser des absences injustifiables. Comme toujours quand elle avait été trop loin, elle quitta à nouveau la maison.

Un conseil de famille décida de demander au juge de paix de prendre des dispositions pour la protection des mineurs, mais la vipérine en avait décidé autrement, prête à tout pour cacher son caractère de mère indigne. Le dilemme était une belle villa dans laquelle elle voulait continuer à vivre, mais elle n'en avait acquise que la moitié par contrat de mariage et elle voulait l'autre moitié, sans la payer.

Il fallait une faute à en effarer le juge, pour chasser l'homme de chez lui. Elle obtenait de l'adolescente qui ne voulait pas aller en pension pour terminer ses études, et de son fils aîné, persuadé que son père était coupable du malheur de sa mère, des témoignages mensongers et accablants.

Elle prit un ténor du barreau qui justifia une demande d'expulser Michel de chez lui, en l'accusant 'de choses faites envers leurs enfants que la moralité l'empêcha de dire au tribunal'. Son avocat lui recommanda de ne rien dire. Il voulait crier:-

- Menteur, escroc, salopard, fumier, malfaisant, scélérat, vermine… Je n’ai rien à me reprocher, rien ne t'autorise à me traiter ainsi: tu ne mérites pas de parler dans un tribunal !

Le juge décida de protéger les petits par mesure de précaution et Michel fut, en quinze jours de temps, expulsé de chez lui. C'était en plein hiver 1994. Soudain, à l'âge de 51 ans, privé de tout ce pourquoi il avait tant travaillé et invalide de surcroît, il se retrouva à l’hôtel, puis dans un petit appartement. Il était tétanisé, dans un profond désespoir, incapable de surmonter l'interdiction de revoir ses enfants plus jeunes et les protéger de leur mère.

Il avait été condamné à payer une pension alimentaire calculée par "erreur", en confondant ses indemnités d’invalidité à ses ressources. Il lui fallut alors choisir entre payer son loyer, ou la pension alimentaire. Arriva la saisie intégrale de ses indemnités d’invalidité pour payer cette pension alimentaire, à nouveau confondue à ses revenus, de manière qu'il ne puisse plus payer son loyer. Le plus rude de la chute fut les maisons d'accueil, jusqu'au jour où débordées, elles refusèrent le droit d’asile. Il ne reste alors que la rue, dont il est pratiquement impossible de s’en sortir, sans une aide extérieure.

Les services sociaux lui reprochèrent de ne rien faire pour réduire cette pension alimentaire et lui coupa les vivres. Le bâtonnier estima que les avocats n'avaient pas commis de faute, mais la réponse ne fut pas valable pour les services sociaux, du fait que les avocats s’entendent trop bien pour ne pas se critiquer l’un et l’autre. L'hiver d'avant encore, les hommes sans abris attendaient d’être ramassés par la police pour pouvoir être hébergés et nourris en prison. Depuis, une loi fédérale dépénalisa la mendicité, non par bonté ou par indulgence pour les mendiants, mais pour vider les prisons par manque de place. N'étant pas pédophile, Michel ne put, non plus, élire domicile en prison.

Front Commun SDF - DAK Bruxelles - Flandres - Wallonie

Il rencontra d'autres hommes qui, comme lui, s'étaient retrouvés à la rue en raison d'une pension alimentaire mal calculée. L'un d'eux n'eut droit qu'à 2,50 € par jour, pour manger et pour s'habiller. La dignité réduite à de si tristes apparences, l'homme n'ose plus se montrer devant ses enfants. Il a alors tout perdu.

Michel a payé 50.000 € de pension alimentaire en trop sur 10 ans. Aucune statistique n'a jamais été effectuée, de manière que nul ne puisse connaître les questions à remédier pour empêcher que les personnes se retrouvent privées de domicile. Dernièrement, sur huit SDF réunis à l'occasion d'une conférence de presse, cinq s'étaient retrouvés à la rue en raison de pensions alimentaires qu'ils furent dans l'incapacité de payer… au risque de se retrouver à la rue.

Michel s'en est sorti, mais n'a toujours pas récupéré la moitié de sa maison.

STOPaux aliénations parentales qui privent des parents de leurs enfants STOP

STOPaux expulsions qui jettent des pères à la rue sans recours STOP

STOPaux pensions alimentaires qui les privent du droit à un logement suffisant ou de biens acquis légalement STOP

Collectif La Vie de Pères - Front Commun SDF Bruxelles Flandre Wallonie

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commentaires

A
<br /> Bonjour Michel! Je crois que si l'enfer existe, vous l'avez rencontré. Votre récit est un des plus dramatiques que je n'aie lu. Et 18 ans après, vous êtes toujours<br /> vivant et debout. Je ne vous demanderai pas à quel prix. Je n'ose vous souhaiter "bon courage", ce serait un affront après votre démonstration de dignité et de combat. Bien à vous, Pascal.<br />
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O
<br /> <br /> J'ai beau en avoir entendu des vertes et des pas mûres, celle-là est l'une des pires.  Refusé, même de ressources d'hébergement ?  Comment expliquer pareille déchéance sociétale ?<br />  L'Occident est tombé bien bas.<br /> <br /> <br /> <br />
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W
<br /> <br /> Comment réagir, face à cette situation dramatique ?<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> La majorité des gens ne peut imaginer l’ampleur des dégâts collatéraux, que peuvent produire les fausses accusations portées<br /> contre une personne honnête.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> De telles fausses accusations provoquent des réactions nocives, morbides, tant sur le plan de la santé physique que<br /> mentale.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Quand on est victime de tels abus, et que l’on n’est pas défendu décemment contre les auteurs de ces malversations, l’on vit dans<br /> une atmosphère de grande inquiétude, voire de terreurs. Car l’on se demande constamment ce qui pourrait encore nous arriver avec d’autres conséquences où nous serions davantage<br /> détruits...<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Face à ce genre de situation d’incertitudes, nous sommes bien conscients que la carence de la justice permet d’ouvrir grandement<br /> toutes les portes aux scélérats, lesquels en profitent pour s’accaparer odieusement, tout ce qu’ils convoitent. Et c’est de manières très légales qu’ils parviennent à s’accaparer toutes leurs<br /> convoitises !<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> En effet, tout ce qui est normalement et légalement interdit est hautement autorisé – voire hautement normalisé – lorsqu’il s’agit<br /> de faits de mœurs... Par faits de mœurs, ce sont bien les conflits de divorces ou de séparations conjugales qu’il s’agit.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Comment promouvoir une société stable, durable, quand il n’y a qu’une justice à la solde des menteurs et des<br /> escrocs ?<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Comment rester honnête, quand on est traité de la sorte par une telle justice ?<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> En agissant ainsi, la justice ne peut que promouvoir le chaos et les destructions de familles. CQFD<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Alors… comment réagirez-vous… si cela vous arrive A VOUS aussi ? Ou bien si cela arrive aussi à l’un de vos<br /> enfants ?<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Sachez que cela n’arrive pas qu’aux autres ! Des millions de parents ont été brisés par une telle justice qui est incapable<br /> de faire face à ses responsabilités !<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Comment peut-on assurer et promouvoir une société honnête et durable dans de telles conditions ?<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Peut-on encore tolérer plus longtemps une telle justice qui exploite, autant et uniquement par profit, les mensonges, les<br /> escroqueries, les fausses accusations… bref, toutes ces malversations particulières ?<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> À méditer… car chacun de nous est coresponsable de telles pratiques ignobles. Et si nous ne sommes pas assez nombreux à<br /> revendiquer des lois qui puissent réellement protéger les honnêtes citoyens contre les scélérats de la pire espèce… nous serons encore plus nombreux à subir cet opprobre et ce terrorisme<br /> institutionnel.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Nous avons le droit légitime de nous révolter contre ces iniquités ! Des groupes de parents se réunissent pour lutter contre<br /> les dérives et les dénis de justices. Nous avons besoin de vous pour mener à bien notre cause.<br /> <br /> <br /> <br />
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U
<br /> <br /> (suite)<br /> <br /> <br /> Il se rendit alors compte qu’Alain avait agit par vengeance car Vinciane n’avait pas répondu à la demande de sa mère, et qu’elle avait<br /> même contredit les fausses accusations que sa mère avait portées sur son père.<br /> <br /> <br /> Pris de remords, Aldo alla aussitôt rechercher Vinciane et lui demanda de ne plus avoir de relation avec sa famille. Ce fut la<br /> condition principale pour qu’Aldo accepte de continuer la relation conjugale. Elle avoua être fortement traumatisée, et l’âme en peine, pour préserver son couple bien fragile, car récent,<br /> Vinciane changea son numéro de téléphone et coupa définitivement les ponts avec son père… et avec sa famille.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> [4] L’histoire invraisemblable de ce père, brisé par tant d’injustices, est consignée sur les pages suivantes :<br /> <br /> <br /> Article «Michel versus perversité au féminin »<br /> <br /> <br /> Lettre ouverte « Mes très chers<br /> enfants, » au commentaire n°5 à la page :<br /> <br /> <br /> http://laviedeperes.over-blog.com/article-12857842-6.html#anchorComment<br /> <br /> <br /> Article « QUID des fausses accusations pour gagner un divorce<br /> ? »et<br /> commentaires n°15 et n°25 à la page :<br /> <br /> <br /> http://laviedeperes.over-blog.com/article-23639745-6.html#anchorComment <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
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U
<br /> <br /> Lettre de Vinciane, du 28 août 1996 concernant les fausses accusations de sa mère pour gagner son divorce<br /> <br /> <br />  _____________________________________________________<br /> <br /> <br /> Retranscription -- par un père -- de la lettre [1] de sa fille de 28 ans<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Papa,<br /> <br /> <br /> Je suis très heureuse de pouvoir enfin te revoir après 2 ans d’absence [2] et d’appréhensions. Et oui, malheureusement, j’ai été lâche<br /> papa, car il y a deux ans, quand on s’était revu pour, normalement une période infinie, j’ai été arrêtée dans mon élan par mon propre frère [3], car je ne dois plus te raconter l’histoire pour te<br /> l’avoir déjà racontée, qui, de plus, est douloureuse encore maintenant.<br /> <br /> <br /> Tout ce que j’espère, c’est de ne plus jamais avoir ce genre d’histoire et ne plus avoir à être lâche vis-à-vis de toi.<br /> <br /> <br /> Je ne vaux guère au reste de la famille car j’ai moi aussi tourné le dos à mon père et pourquoi ? Pour protéger ma petite<br /> personne de la peur de perdre l’être que j’aime. Moi aussi, je te demande pardon, pour ne pas avoir été à la hauteur, t’épauler dans ta bataille, pour ne pas avoir été là, près de toi pour<br /> écarter et consoler tes peines, pour ne pas avoir pu soulager et apaiser tes colères, et j’en passe. J’espère que tu me pardonneras aussi tout ça.<br /> <br /> <br /> Maintenant, nous pouvons avancer et bâtir une relation inébranlable car j’aimerais ce que j’ai toujours désiré d’avoir mon père [4] à<br /> mes côtés pour le restant de la vie, encore bien prometteur.<br /> <br /> <br /> Aldo ne voit pas, non plus d’objection, mais, et ne lui en veut pas, il a un peu peur à cause du passé.<br /> <br /> <br /> Sur ce, j’attends avec impatience le 15 pour que nous puissions enfin se revoir et aussi, tu me manques déjà.<br /> <br /> <br /> Dans cette attente, je t’envoie des milliards de GROS BISOUS.<br /> <br /> <br /> Vinciane,<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> ______________________________<br /> <br /> <br /> Remarques du père<br /> <br /> <br /> [1] La copie de la lettre originale est disponible en JPEG, copie scannée / ou sur autre forme/ demande.<br /> <br /> <br /> [2] Pour pouvoir expulser aisément son époux, et pour obtenir tous les avantages du divorce, Mme G… a contacté sa fille, Vinciane, à<br /> la fin de l’année 1993, pour lui dire qu’elle allait divorcer et surtout pour lui demander de témoigner sur les faits que lorsqu’elle était âgée d’à peine 12 ans, son père avait commis des<br /> attouchements sexuels sur elle. Vinciane a alors contacté son père afin de le mettre au courrant des intentions malveillantes, délictuelles, de sa mère : à savoir qu’elle avait demandé à ses<br /> enfants de témoigner contre le père, pour des faits ignobles commis sur ses enfants, en ce sens que ses filles étaient ses « joyaux sexuels » et que ses fils étaient ses<br /> « souffre-douleur ».<br /> <br /> <br /> Pour démentir les fausses accusations de sa mère, Vinciane écrivit une attestation affirmant sur l’honneur que jamais son père eut une<br /> telle attitude criminelle à son égard. Vinciane fit authentifier son témoignage par la commune et le père remit le document (certifié pour copie conforme) à son avocat. Mais, au moment de la<br /> procédure en expulsion, en janvier 1994, l’avocat du père, Me Van Gils chargé de la défense de ses droits fondamentaux, fit savoir au père qu’il ne pouvait rien faire pour le défendre… en<br /> appuyant ses dire par « Même vos enfants vous accusent de vos graves comportements… Je ne peux rien faire pour vous».<br /> <br /> <br /> Ce père fut expulsé le 20 janvier 1994, sans que la justice ne s’inquiète du bien-fondé des accusations de l’épouse, ni du désarroi<br /> des jeunes enfants (9 et 10 ans) privés d’un père attentionné…<br /> <br /> <br /> Plus tard, le père apprit que cet avocat était le conseillé attitré de l’Églantier, Centre d’accueil pour femmes, appelé communément<br /> « Centre pour femmes battues ». Le père se rendit compte qu’il avait été brillamment « roulé » par le système judiciaire.<br /> <br /> <br /> [3] Selon ce que Vinciane confia à son père, en août 1996 :<br /> <br /> <br /> Apprenant que sa sœur Vinciane n’avait pas témoigné contre son père, mais qu’elle avait contredit les mensonges de sa mère (ainsi que<br /> ses propres fausses accusations) Alain profita de l’absence de Vinciane et de son compagnon Aldo (travaillant tous les deux) pour rencontrer les parents d’Aldo, lesquels habitaient dans le même<br /> immeuble que leurs fils et belle fille.<br /> <br /> <br /> Et là… l’imaginable,… l’abominable se produisit : Alain eu la scélératesse de leur dire que Vinciane était une (…) car elle avait<br /> même couché avec son père, et ajouta encore d’autres mensonges que la décence nous empêche de les transcrire ici…<br /> <br /> <br /> Cet abominable frère (et fils) s’éclipsa avant le retour d’Aldo et de Vinciane. La suite fut dramatique. Les parents d’Aldo<br /> racontèrent tout à leurs fils, lequel demanda aussitôt des explications à sa compagne. La dispute fut inévitable et Aldo mit Vinciane à la porte, avec ses valises, car il ne pouvait pas supporter<br /> une telle situation. Vinciane fut hébergée durant un long moment chez l’une de ses amies. Cette amie, également amie d’Aldo, ne put croire à une telle histoire à propos de Vinciane, pourtant<br /> réputée franche, droite et honnête. Elle contacta Aldo qui reconnut – quand même – qu’une telle situation était invraisemblable. Il se rendit alors compte qu’Alain avait agit par vengeance car<br /> Vinciane n’avait pas répondu à la demande de sa mère, et qu’elle avait même contredit les fausses accu<br /> <br /> <br /> <br />
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U
<br /> <br /> Suite à ma lettre ouverte « Mes<br /> très chers enfants, » publiée au commentaire n°5 à la page :<br /> <br /> <br /> http://laviedeperes.over-blog.com/article-12857842-6.html#anchorComment<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Je viens de retrouver une lettre que ma fille Vinciane m’avait écrite en 1996, et que je m’empresse de publier<br /> ci-après.<br /> <br /> <br /> Depuis quelques années elle a quitté son compagnon, Aldo, et lui a réclamé une pension alimentaire pour l’enfant né quelques mois<br /> plus tôt. Elle m’interdisait de voir Aldo. Je constatai qu’elle éprouvait une profonde haine pour lui et qu’elle tentait à tout prix, par avocat, d’interdire à ses parents d’avoir le bébé en<br /> visite le dimanche.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Pour elle, il n’y avait donc plus aucune retenue, ni d’interdiction de revoir sa mère, afin de recevoir toutes les aides<br /> financières que la grand-mère maternelle octroyait à ses petits enfants, dont Vinciane fut privée durant tout le temps qu’elle fut en désaccord avec sa mère, et… forcément, avec sa grand-mère<br /> maternelle.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> C’est ainsi que n’ayant plus eu de nouvelles de sa part, ne répondant pas à mes courriers, ne connaissant pas le lieu de sa<br /> nouvelle résidence, j’appris ensuite par Aldo qu’elle avait renoué les liens avec sa mère et avec sa grand-mère maternelle.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Enfin, seize ans après mon expulsion, et au moment de la procédure de « liquidation et partage de la communauté » (Une<br /> villa dans un quartier résidentiel à Braine-l’Alleud, vendue à vil prix) l’avocat de mon ex, Me Clément, eut l’infâme culot de dire devant le Notaire, sa secrétaire et mon avocat : « Si<br /> vous saviez ce que votre charmante fille est venue me dire sur vous… ». Une façon de plus pour me diaboliser aux yeux des témoins.<br /> <br /> <br /> Je pense qu’il ne peut s’agir que de Vinciane, car sa sœur Valérie a rompu toute relation avec sa mère. En effet, Valérie n’a pas<br /> bénéficié des pensions alimentaires de 625 € que je versais tous les mois à sa mère. Elle fut obligée de travailler sur des marchés pour payer ses études. En outre, elle ne bénéficia pas de ses<br /> allocations familiales ! Et lorsqu’elle quitta le foyer « familial » pour se mettre en ménage, avec son amoureux, et alors qu’elle était encore aux études… sa mère percevait<br /> toujours ses allocations familiales ! C’est à la suite d’une enquête de l’ONAFTS que j’ai pu, en temps que parent référent, redonner à Valérie le bénéfice de ses allocations familiales. Ce<br /> dernier détail montre le haut degré de malhonnêteté de sa mère.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
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W
<br /> <br /> Dossiers Divorces conflictuels – 48 vidéos témoignages<br /> <br /> <br /> http://www.dailymotion.com/ca-fr/playlist/xrire_oliviergourson2_mcp/1<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> 1- Une mère empêche sa fille de voir son père accusé faussement d’attouchement sexuel. Ces fausses accusations furent<br /> utilisées comme Arme Nucléaire dès les années 1990 contre les pères pour que les femmes puissent obtenir tous les avantages du divorce… avec la complicité de la<br /> « Justice ».<br /> <br /> <br /> Vidéo témoignage d’un père et de sa fille victime d’aliénation parentale.<br /> <br /> <br /> http://www.dailymotion.com/video/xb0ss0_jt-france-2-divorce-conflictuelle_news<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> 2- La « justice » détruit des millions de familles en privant les pères – et parfois aussi les mères – de<br /> leurs enfants. C’est une constante destruction des familles tant sur le plan des droits fondamentaux des pères et des enfants, de la Convention Européenne des Droits de l’Homme et des Droits de<br /> l’Enfant, que sur le plan affectif, psychologique, sociologique et économique.<br /> <br /> <br /> Vidéos témoignages<br /> <br /> <br /> http://www.dailymotion.com/ca-fr/playlist/xrire_oliviergourson2_mcp/video/x9bbtq_la-fete-des-peres_news?from_flash=1<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> 3 à 48 vidéos voir détails à la page<br /> <br /> <br /> http://www.dailymotion.com/ca-fr/playlist/xrire_oliviergourson2_mcp/1<br /> <br /> <br /> <br />
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H
<br /> Humiliation suprême<br /> Un témoignage parmi des millions d'autres pères violés<br /> <br /> http://ma-vie-mise-a-nu.over-blog.com/article-humiliation-supreme-40896275.html<br /> <br /> <br />
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M
Témoignage d'une canadienne prise en charge par un centre d'accueil pour femmes« Je suis une mère célibataire avec deux enfants. Lorsque j'ai pris la décision de rompre les liens du mariage (par ennui), j'ai consulté trois avocats différents dans le but de me renseigner. Ils m'ont tous trois posé la même question concernant d'éventuels abus entre les mains de mon mari. Ma réponse fut que jamais, et d'aucune manière ce soit, mon conjoint n'avait abusé de moi. À ma grande stupéfaction, leurs réactions furent unanimes. À moins d'accuser mon conjoint d'abus, jamais je n'obtiendrais la garde exclusive de mes enfants. Ils m'ont également raconté comment ces allégations déposées contre mon conjoint allaient suffire pour m'approprier la TOTALITÉ de ses biens et encore davantage. Lorsque je m'inquiétais à savoir comment prouver ces allégations, je me suis fait simplement répondre que les preuves n'étaient pas requises à la cour, et qu'il suffisait de me rendre à une centre de crise pour femmes, que j'allais y obtenir tout le support nécessaire à l'appui dans mon histoire de mauvais traitements.Issue d'une famille où les valeurs religieuses étaient de rigueur, j'étais très mal à l'aise avec ces conseils. Ensuite, les avocats m'ont avisé que pour bénéficier pleinement de l'aide juridique, je n'avais pas d'autre option que de déposer des allégations contre mon mari. Dépourvue des ressources monétaires pour assumer les honoraires professionnels des avocats, j'ai suivi leurs conseils. De reculons, j'ai emmené les enfants au centre de crise. Je ne pouvais pas croire ce que je voyais. De l'extérieur, tout semble correspondre à l'image projetée auprès des bailleurs de fonds. Cependant, rien n'est plus éloigné de la vérité.Cet endroit pourrait être assimilé à un lieu de culte, à défaut d'un meilleur terme. Dénigrer les hommes y était une priorité et la direction de l'établissement semblait très enthousiaste à l'idée de recruter une autre femme pour joindre les rangs de celles qui les détestent. Elles disposaient même d'un scénario infaillible pour gagner à la cour. En suivant le mode d'emploi suggéré, je m'assurais de remporter non seulement la garde exclusive des enfants mais aussi l'automobile, la maison, la terre et des ressources financières pour vivre confortablement jusqu'à la fin de mes jours.Dès que ma décision de suivre leur plan fut connue, les événements se sont précipités. J'ai vu l'homme avec qui j'avais été marié être détruit tant sur le plan émotionnel, financier que physique. J'ai obtenu la garde exclusive des enfants et, avec l'ordonnance de non communication, obtenu également la maison et l'automobile de manière à préserver le rythme de vie habituel des enfants.Non seulement ai-je obtenu une ordonnance de non communication à son endroit mais il fut également reconnu coupable de voie de fait. L'homme qui avait participé activement à la création de nos enfants, à leur entretien et qui les aimaient tendrement, était par la loi maintenu à bonne distance d'eux et tenu de me verser (davantage que j'en avais besoin) une pension pour leur entretien. Tel que je l'ai mentionné, je l'ai détruit, ne lui laissant que des miettes pour survivre. »<br />  <br /> 11 juin 2009<br /> http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2009/06/11/homme-noir-sdf-coupable-ideal.html
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W
Avocats : de l’huile sur le feu ? <br /> Chacun a en tête des séparations où les avocats ont incité une des parties à demander davantage, à révéler les travers secrets de l’autre pour l’empêcher d’obtenir la garde des enfants, ou à faire constater par huissier son infidélité. Le futur ex-conjoint devient un adversaire, voire un ennemi, et tout est bon pour le mettre à terre avec l’aide d’un avocat, allié actif dans cette guerre de tranchées. Pourtant, un divorce n’est pas une affaire comme les autres. « Il n’y a ni gagnant ni perdant, explique Me Elodie Mulon. On est gagnant si l’on a réussi à trouver un équilibre pour la famille. Les avocats qui l’ont compris aident mieux leurs clients que s’ils demeurent enfermés sur leurs positions. » Il est préférable de choisir un avocat qui traite essentiellement, voire exclusivement, d’affaires familiales. « C’est une spécialité exigeante, rappelle Hélène Poivey-Leclercq, avocate spécialisée dans le droit de la famille à Paris. Cela demande d’avoir suffisamment de recul pour ne pas mélanger les genres et ne pas être tenté de régler ses propres comptes. » <br /> La suite sur :<br /> http://www.elle.fr/elle/societe/les-enquetes/quand-le-divorce-rend-fou/avocats-de-l-huile-sur-le-feu/(gid)/777814<br />  <br /> Publié sur<br /> Approcher le divorce conflictuel. Par Jean-Emile Vanderheyden<br /> http://laviedeperes.over-blog.com/100-comments-24665781.html<br /> Commentaire n° 132 posté le 23/03/2009 <br /> QUID des fausses accusations pour gagner un divorce ?<br /> http://laviedeperes.over-blog.com/article-23639745-6.html#anchorComment <br /> Commentaire n° 36 posté le 23/03/2009 <br /> Destructions familiales par les dysfonctionnements judiciaires<br /> http://laviedeperes.over-blog.com/article-21960745-6.html#anchorComment <br /> Commentaire n° 9 posté le 23/03/2009 <br /> Le commerce indécent du conflit conjugal – Quid de la déjudiciarisation ?<br /> http://laviedeperes.over-blog.com/article-21324507-6.html#anchorComment <br /> Commentaire n° 2 posté le 23/03/2009<br /> L’injustice en Belgique et ailleurs… Une question d’argent et de pouvoir ?<br /> http://laviedeperes.over-blog.com/article-16581558-6.html#anchorComment<br /> Commentaire n° 1 posté le 23/03/2009<br /> Divorces Frauduleux, tous les coups sont permis ! <br /> http://laviedeperes.over-blog.com/article-16396014-6.html#anchorComment<br /> Commentaire n° 1 posté le 23/03/2009<br /> Au tribunal ? Ou à la médiation ?‏ <br /> http://laviedeperes.over-blog.com/article-13689634-6.html#anchorComment<br /> Commentaire n° 1 posté le 23/03/2009
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W
Fausses accusations de violences ou autres abus - Des sites intéressants: <br /> http://www.champi.org/pere/faux_acc.htm - http://forum.aufeminin.com/forum/actu1/__f64112_actu1–mal-les-fausses-accusations-de-viol-ou-attouchement-de-la-part-femmes-ou-adolescentes-quand.html - http://forum.doctissimo.fr/psychologie/violences-conjugales/accusations-conjugales-violences-sujet_2450_1.htm à bon entendeur - hommelibre - Bonjour, N’hésitez pas à copier-coller vos commentaires d’ici et à les mettre également sur mes blog, il faut que l’information s’étende le plus possible. - http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2009/01/29/fausse-accusation-de-viol-contre-khalid-naji-la-saloperie-en.html - - http://www.lepost.fr/article/2009/01/30/1406249_fausse-accusation-de-viol-contre-khalid-naji-un-mensonge-construit.html#mareaction - -  http://leshommeslibres.lalibreblogs.be/ - - - http://hommelibre.lejdd.fr/ - - Il faut en parler le plus possible.<br /> Publié aussi sur <br /> Approcher le divorce conflictuel. Par Jean-Emile Vanderheyden <br /> http://laviedeperes.over-blog.com/100-comments-24665781.html <br /> Commentaire n° 127 posté par HL le 17/03/2009 à 16h48<br /> QUID des fausses accusations pour gagner un divorce ?<br /> http://laviedeperes.over-blog.com/article-23639745-6.html#anchorComment <br /> Commentaire n° 35 posté par HL le 17/03/2009 à 16h54
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W
Une Fondation pour dénoncer les emprisonnements sans preuves. <br />  <br /> La fondation Karim Achoui<br /> http://khalidnaji.wordpress.com/2009/02/23/la-fondation-karim-achoui-a-decide-de-soutenir-m-khalid-naji/#comments<br />  <br /> De nombreuses personnes se mobilisent et se solidarisent.
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U
<br /> Versus Faussetés, Mensonges, Perversités,… au féminin<br />  <br /> http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Enfants-fictifs-mais-vraies-allocations-_8620-831203_actu.Htm <br />  <br /> Depuis des décennies, nous constatons en Europe, dans la population féminine, des millions de fausses accusations de tous genres ! <br />  <br /> Et notamment : <br />  <br /> 1- fausses accusations portées par des femmes pour expulser leurs ex de leurs domiciles,<br />  <br /> 2- fausses accusations portées par des femmes pour réclamer des pensions alimentaires, impossibles à payer, au risque d’être endetté à vie, de perdre son emploi, ou d’être à la rue,<br />  <br /> 3- fausses accusations portées par des femmes pour voler les vies de pères de leurs ex…<br />  <br /> Et, cerises sur le gâteau… maintenant on vient de condamner deux femmes pour : <br />  <br /> 4- fausses déclarations de naissances de trois enfants… dont le seul but fut d’obtenir plus de ressources financières. <br />  <br /> L’une a trouvé comme excuse devant le Juge : « J'ai fait ça parce que je n'arrivais pas à trouver du travail », dit-elle, hier, à la barre du tribunal correctionnel de Nantes. Elle vivait seule. Pendant trois ans, elle a perçu toutes les allocations auxquelles elle pouvait prétendre. Montant : près de 15.000 €.  Et 4.000 € pour sa fille qui a, par ailleurs, eu deux enfants. Des vrais ceux-là. Et que leur grand-mère a fait passer, auprès du médecin de famille, pour ses vrais-faux gamins. <br />  <br /> Où sont les hommes ???... devrait clamer la chanson « Où sont les femmes… » <br /> Ma grand’Mère, cette bonne et brave féministe qui avait le cœur à la bonne place doit bien se retourner dans sa tombe… <br />  <br /> Des enfants–tiroirs-caisses ?! Utiliser des enfants pour le profit !? Quelle honte ! <br />  <br />
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W
Le condamné hurlait : « Je veux ma maman ! »<br />  <br /> « Maman, maman, je veux ma maman, je veux rentrer chez moi. Maman ! » Les hurlements d'un condamné à trois mois de prison ferme, avec mandat de dépôt, ont glacé hier après-midi, la salle d'audience du tribunal correctionnel, à la cité judiciaire de Dijon.<br /> Alors qu'il venait d'apprendre la sanction infligée par le tribunal, ce Dijonnais de 24 ans s'écroulait dans le box sécurisé, où deux policiers tentaient de l'évacuer, sans pour autant calmer ses cris de désespoir, et d'appel à sa mère, comme s'il était un tout jeune enfant.Que lui était-il reproché ? Des menaces de mort à l'encontre d'une adolescente de 15 ans, entre le 24 décembre 2008 et le 12 janvier, en récidive. Des faits exposés par le vice-président du tribunal de grande instance de Dijon, le juge Alain Millerand :<br /> à lire sur http://www.bienpublic.com/actu/faitsdiv/20090124.BPA1255.html
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M
<br /> Cette salope m’a volé ma vie de père !<br /> Ah, si j’avais écouté ma mère !... Je n’aurais pas épousé cette femme indigne !... Je n’airais pas été violé, spolié, ruiné,… par cette femme vénale!... STOP à la DIABOLISATION des pères !
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R
Nous attendons de discuter avec (... et le réseau Européen) au sujet des initiatives éventuelles que nous pourrions prendre (...).<br />  Nous avons toutefois une logique simple : suivant la CIDE la justice ne doit en aucun cas se mêler des affaires familiales de parents normaux qui respectent les besoins de leurs enfants.<br />  <br /> Ces lieux de rencontres ne sont à ce jour que dégradants et trop souvent les outils d'un système totalitaire .... Leur usage est dans une majorité des cas contraire aux articles de la Convention Internationale des Droits des Enfants (CIDE)... quand aux enquêtes sociales elles disent toutes ce que les juges veulent entendre et pour cause ... les enquêteurs sont commis et payés par les juges (je parle ici de l'asservissement quasi systématique des pères normaux ne relevant pas d'affaires pénales).<br /> Je n'ai par ailleurs aucune confiance dans les assistantes sociales pour avoir expérimenté moi-même la grande perversité de leur système qui se nourrit des exactions des juges aux affaires mercantiles familiales.<br /> Un moyen de lutte est de travailler par l'usure en utilisant l'absurde du système pour enrayer la machine judiciaire à chaque fois que vous le pouvez. Le côté débile de leurs actions ne pourra manquer tôt ou tard de provoquer l'indignation de la population. Des affaires comme Outreau ils y en a plein .... C’est quasi systématique .... Portons les au grand jour ....<br /> Sans parler des juges tortionnaires, pédophiles, masturbateur, complices de meurtres, coupables d'abus de pouvoir et autres très, très nombreuses exactions qui sont généralement récompensés par des promotions avec mutation ou mieux encore par une mise à la retraite dorée anticipée avec plein salaire (exemple: le juge renard à Nice)<br /> Mais je le répète le meilleur moyen reste de divulguer et de promouvoir le boycott des avocats : sans argent ils disparaissent ....  De toute façon avec ou sans c'est pareil alors autant éviter de leur donner votre argent ou celui de l'état (aide juridictionnelle qui contrairement à ce qu'ils disent représente un vrai pactole). Bien amicalement et bon courage<br /> Alain
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Y
Quid des enfants parricides et des conséquences des séparations – divorces ? <br /> Ou comment des enfants peuvent-ils haïr à ce point leur pères ou mères au point de les tuer aussi sauvagement ?<br />  <br /> Double meurtre à Liège: trois suspects déférés devant le juge<br /> Les enquêteurs de la police judiciaire fédérale de Liège, section crime, ont entendu durant la nuit de samedi à dimanche trois suspects dans le cadre du double meurtre commis à Angleur dans la nuit de vendredi à samedi, avant de les déférer devant le juge d'instruction en vue de leur placement sous mandat d'arrêt. Il s'agit des deux fils d'une des victimes et d'un de leurs amis.Les corps sans vie d'un homme et d'une femme ont été découverts vendredi par les pompiers de Liège, appelés pour un incendie dans un appartement du 8e étage d'un immeuble de la rue Vaudrée à Liège. Les corps présentaient des traces de coups de couteau.Les deux victimes sont les occupants de l'appartement. Il s'agit de Carine Micha, âgée de 39 ans, et de son compagnon Richard Dulapa, âgé de 35 ans.Les enquêteurs de la PJF ont pu reconstituer le déroulement des faits et le témoignage de voisins et colocataires des victimes a permis de les mener à trois suspects: les deux fils de Carine Micha, Philippe Galère, 22 ans, et Grégory Galère, 20 ans, ainsi qu'un de leurs amis, Christophe Renard, 21 ans, tous les trois domiciliés à Liège.Vendredi après-midi, Philippe s'est rendu chez sa mère et a bu énormément de bières en compagnie de celle-ci et de son compagnon Richard. A cette occasion, Carine Micha aurait fait des reproches à Philippe, qui selon elle était trop proche de Grégory, avec qui il vivait à Liège. Toujours selon Philippe, sa mère aurait tenté de lui monter la tête contre Grégory. Philippe a alors quitté les lieux mais y est revenu peu après, en compagnie de son frère Grégory. Alors que Grégory l'attendait au rez-de-chaussée, Philippe a copieusement rossé sa mère et Richard, avant de leur porter des coups de couteau et de les égorger. Christophe Renard a ensuite ramené Philippe et son frère chez eux. Philippe a immédiatement mis au courant son frère et son ami du double crime qu'il venait de commettre. Dans la nuit, il est à nouveau retourné chez sa mère où il a cette fois mis le feu à l'appartement, tant pour faire disparaître toute preuve possible que pour brûler les cadavres. Grégory lui avait fourni le bidon d'essence. Christophe Renard avait entre-temps autorisé les deux frères à se cacher chez lui.Les enquêteurs ont été mis sur la piste de Philippe par des voisins et colocataires qui l'avaient vu sur les lieux durant l'intervention des pompiers.Les trois suspects vont être déférés devant le juge d'instruction. Philippe Galère devrait être placé sous mandat d'arrêt pour assassinat, Grégory et Christophe pour complicité, avant leur écrou à la prison de Lantin. (belga) <br /> 02/11/08 13h16<br /> ·                                 Lire aussi: Double meurtre à Liège: deux suspects appréhendés  <br /> ·                                 Lire aussi: Un homme et une femme tués à coups de couteau à Liège<br /> http://7sur7.be/7s7/fr/1502/Belgique/article/detail/473546/2008/11/02/Double-meurtre-a-Liege-trois-suspects-deferes-devant-le-juge.dhtml
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H
Immunité totale des juges: un résidu anti-démocratique d'un autre âge - Je citais dans mon dernier billet le cas d'un enseignant français qui s'est suicidé après avoir été  faussement accusé par un élève. Le cas des fausses accusations est de plus en plus fréquents, et celles qui sont révélées ne sont que la pointe de l'iceberg. Quand à la parole des ados ou des enfants, on n'a visiblement pas encore tiré les leçons d'Outreau. Cette note a été publiée le 25 octobre 2008 Pour lire la note entièrement, veuillez cliquer sur le lien ci-dessous :http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2008/10/25/immunite-totale-des-juges-un-residu-anti-democratique-d-un-a.html    Bonne journée.
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F
Autrefois, le faux témoignage était le crime LE PLUS sévèrement condamné. En septembre dernier, un professeur de lettres s’est pendu, suite au mensonge de Maxime, un adolescent de 15 ans. Il l'avait accusé de lui avoir donné un coup de poing, en raison d'un retard uni à un refus de remettre son carnet de correspondance. L’élève a reconnu avoir menti après la mort de son professeur.<br />  <br /> Un procureur l’a fait mettre en garde à vue une journée entière pour "violences ayant entraîné une incapacité totale de travail inférieure à huit jours par une personne chargée d'une mission de service public", alors qu’il niait les faits. Une élève affirme : "Maxime provoquait le prof. Il était arrivé en retard, avait chanté en cours, puis refusé de rendre son carnet de correspondance."  <br />  <br /> Le professeur lui avait soulevé le menton, pour lui faire relever la tête. Les dents entrechoquées, une carie avait provoqué un saignement.  La vie d’un homme peut donc dépendre d’une dent mal soignée, d’un médecin qui fait une incapacité de travail plutôt que d’envoyer son patient chez le dentiste et d’un procureur qui se permet de mettre un homme au chômage sans vérifier les faits. <br />  <br /> Et oui : comment un prof peut-il enseigner, s’il suffit du mensonge d’un élève pour le faire mettre en garde à vue ?
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W
<br /> <br /> En réaction à l'article : Suicide d un professeur accuse de<br /> violences l’élève avait menti - Un bon médiateur civil aurait démêlé l'histoire - Ne seraient-ce pas les mécanismes et<br /> fonctionnements judiciaires eux-mêmes qui sont en cause quand ils s'emballent ? Pourquoi l'approche du problème entre l'élève et l'enseignant n'aurait-elle pas été faite en premier temps<br /> par un médiateur civil qualifié et expérimenté, dans le cadre scolaire, avant d'alerter les forces lourdes ? N'y a t'il pas d'institut de médiation<br /> (…)? De plus, les termes "garde à vue" ont été très banalisés, et quand on sait comment cela se passe, quelles sont les procédures dans ce domaine, on peut se demander quels états de panique cela<br /> peut provoquer chez quelqu'un qui est déjà affaibli et se sent à jamais sali. Ne pourrait-on pas reconsidérer ces traitements par "garde à vue" et<br /> faire avant, une approche sociale raisonnée permettant aux personnes de s'expliquer tout de suite entre elles, comme le préconise le principe de médiation ? - Passou a écrit : Oui, Luciolle; je partage votre amertume. Les affaires judiciaires ont<br /> dénaturé nos rapports. A l'école, en famille, en politique, au travail. Tristes temps que ce temps de dérives judiciaires, où chacun se voit pressé de<br /> porte plainte contre sa femme, son prof, son élève, son collègue, un maire, un élu, un homme politique. Cette perversion des rapports humains civilisés gangrène nos idéaux (…) et provoque des<br /> troubles dépressifs et identitaires bien plus fréquents que les médias n'osent en parler, de peur qu'on porte plainte également contre eux... http://actu.orange.fr/commentaires-reaction/2753595.html<br /> <br /> <br /> <br />
A
Mon cher… Je me suis efforcé de retenir les larmes qui emplissaient mes yeux durant la lecture de ton calvaire et celui de tes enfants... impossible... J'ai pris plusieurs inspirations profondes suivies d'autant d'expirations profondes... rien n'y fit. Tout ça dans un cyber mais les regards furtifs ou étonnés des gens m'étaient sans importance : je ne suis pas du genre "dépendant de l'approbation de Monsieur-Madame-Tout-le-Monde" J'ai donc mis plus de temps qu'il n'en fallait pour terminer la lecture de ton calvaire et celui de tes pauvres enfants... à force d'essuyer mes larmes (je n'avais prévu de mouchoirs en papier)... mais j'ai été jusqu'au bout et je comprends mieux ton combat pour prévenir un tel cauchemar à tes petits-enfants... Je t'admire davantage et te respecte encore plus...car je peux t'assurer que les 4 mois et 20 jours de prison subis du 06 mars 2007 au 25 juillet 2007 outre la double humiliation de la fouille judiciaire avec garde à vue de 24 heures subie en dd 18 avril 2006 et en dd 18 juin 2006 comme celle subie antérieurement à moi par ma 2ème fille JUDITH à peine âgée de 20 ans en dd 16 mai 2005... je peux t'assurer que tout ce que j'ai subi c'est du pipi de chat à côté du calvaire que tu as vécu, que tu as digéré, surmonté et dont tu vis encore les séquelles et ramifications. Où veux-je en venir après tout ce qui précède ? A t'encourager, mon cher… d'écrire un livre. Je suis persuadé que ton livre aidera beaucoup de familles et surtout beaucoup d'enfants ou adultes restés "tendres" ou "naïfs" c'est-à-dire vertueux ou "purs" c'est-à-dire incapables d'imaginer et de mettre en œuvre des méchancetés d'une telle cruauté aussi rapidement et aussi longtemps ... et probablement, qu'il te libérera encore plus du peu de poids qui te reste encore après le pardon que tu as déjà accordé à tous ces agresseurs malveillants. Merci de m'avoir jugé digne de recevoir ton témoignage mon cher… Courage, amitiés et sincère admiration. J.-M.
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U
Mes très chers enfants, <br /> J’ai reçu, après avoir communiqué un numéro de GSM à votre sœur Alexandra, une menace de mort par SMS, manifestement de votre entourage, car seules trois personnes de confiance ont connaissance de ce numéro. <br /> « Tiens, tes pas encore crever fils de putte ? Fais gaffe je c ou tu vis ! Je v vnir te voir bientôt. Ta mort est programmer ! »<br /> Je me permets, tout d’abord, de féliciter l’orthographe de l’auteur. Mais avant de programmer ma mort, je souhaite vous raconter des faits que vous êtes en droit de connaître.<br /> En mai 1966, j’ai rencontré votre mère à l’arrêt du tram 10, qui avait du retard, ce jour là. Michel T., un vieux copain de mon quartier, m’avait présenté cette belle jeune femme très souriante sur qui j’avais fait une très belle impression. J’étais alors adjoint de la direction commerciale de la compagnie Satchwell, dans le domaine du conditionnement d’air au service technico-commercial, en tant que responsable du Service technique et du magasin pour la réception et l’expédition des fournitures. <br /> Elle prenait tous les jours le tram 10 à la Place Madou, où elle travaillait à la Bank Of América, un quart d’heure après moi. Depuis, matin et soir, nous faisions le trajet ensemble. Peu après, nous « sortîmes ensemble » comme on dit à Charleroi. Puis encore un peu plus tard, je passais tous les week-ends chez elle, à Waterloo, drève des 10 mètres. <br /> Un beau jour, en arrivant le samedi, je vis un beau bébé d’environ 6 mois, tout souriant, qui se trouvait dans un relax. Il me regardait et n’arrêtait pas de sourire et se balançait en agitant ses gambettes. C’était Alain senior, votre frère aîné, qui est né d’une liaison que votre mère avait eu Angleterre avec un homme originaire d’Inde. <br /> Votre mère m’a demandé si j’allais poursuivre notre relation en dépit de cet enfant « accidentel ». Je l’aimais et lui ai répondu qu’il ne serait jamais un obstacle entre nous. J’aimais aussi beaucoup ce bébé qui ne pleurait jamais et me sentais capable de l’élever comme mon fils. Un beau jour, le petit Alain avait disparu. Votre mère, sans rien m’en dire, l’avait fait adopter, car elle ne souhaitait pas accéder à la demande de son père de le reprendre et le ramener en Inde. <br /> Pépé, concubin de Grand’ Mamy depuis environ 1958, était le parrain de ce petit ange. Il était si scandalisé du comportement de votre mère, qu’il avait changé les serrures, en représailles pour leur avoir « enlevé » le petit Alain, de manière à s’assurer qu’elle ne puisse plus rentrer dans sa maison. <br /> Je ne pouvais pas laisser votre mère dans l’embarras, ni à la rue. J’ai demandé à Nènène et Pinpin, ma mère et mon beau-père, de pouvoir l’accueillir. Votre mère n’avait que 20 ans, à cette époque où la majorité n’était pas acquise avant 21 ans. Ils n’étaient pas très rassurés et se mettaient en contact avec votre grand-mère maternelle. C’est alors que j’ai appris que non contant de l’avoir mis à la rue, elle prévoyait de me faire des ennuis pour détournement de mineure !!!<br /> Votre mère avait été licenciée de son travail en juillet 1966. Aussitôt, je louais un studio meublé à Ixelles à son nom. Un avis d’expulsion du territoire pesait sur elle, car de nationalité Britannique elle était venue en Belgique, pour accoucher, avec un visa touristique. <br /> Ma sœur, votre tante Moune, me conseilla de l’épouser. Nous ne nous connaissions que depuis six mois et il me semblait que se marier était un peu rapide. Ma mère traitée de « pute » par l’un d’entre vous, me déconseillait de poursuivre cette relation. « Ce n’est pas une femme pour toi, elle n’est pas convenable » m’avait-elle dit.<br /> Je lui ai demandé quels étaient ses motifs pour penser qu’il ne s’agissait pas d’une personne convenable, mais elle ne m’a pas répondu. Peut-être se basait-elle sur son intuition. Où était-ce en jugeant le cœur d’une femme qui, non contente de ne pas avoir épousé le père de son enfant, fait adopter cet enfant par d’autres pour prévenir qu’il ne puisse faire son devoir de père. Ah, si j’avais écouté ma mère ! <br /> Nous nous sommes mariés en novembre 1966. Quelques mois plus tard, nous attendions un enfant et elle perdit son emploi. Je lui proposais d’assurer les besoins de notre ménage avec mon salaire, pour lui épargner de devoir aller à pieds, tous les jours, dans le froid de l’hiver 1966/1967, pour pointer au chômage, en poussant le landau de notre bébé. Nous l’avons appelé Alain en souvenir du premier Alain. <br /> Vinciane devait naître 13 mois après Alain. Votre mère pleurait et se frappait le ventre de manière hystérique, devant Nènène et Pinpin et, me semble-t-il aussi, devant votre tonton Jacques et Moune. J’étais sidéré. Je travaillais dur en tant qu’Agent Général aux AGF, à produire des assurances vies. Je gagnais bien ma vie, mais je rentrais très tard le soir. <br /> Votre mère a pris un emploi pour la Firme pharmaceutique « Abbott », rue de l’Intendant à Schaerbeek, qui en 1973, se délocalisait. Ils avaient offert 2.000.000 BEF (50.000 €) aux membres du personnel qui ne voulaient pas travailler dans le nouveau complexe, ce qui leur évitait les indemnités de licenciement. Votre mère m’a alors quitté sans crier gare, en mettant un disque 33 tours sur la platine avec pour titre « ADIOS AMIGO ». <br /> J’ai alors appris qu’elle était partie en Espagne avec un dénommé Michel PEETERS, mais mon enquête s’est arrêté là, tant les Michel PEETERS sont nombreux. J’ai introduit une demande en divorce, qui devait être prononcé en son absence, de fait que nul ne savait où elle résidait.<br /> Vinciane n’avait que 5 ans, quand elle a raconté à Nènène des choses qu’un enfant ne peut voir : les ébats sexuels de sa mère avec son amant. Vinciane souffrait des bronches. Sa mère l’envoyait à l’école maternelle avec des tartines moisies, selon la direction. Le pédiatre m’avait conseillé de la placer au préventorium de Dolhain dans le Limbourg, près de Verviers, pour lui refaire une santé, mais de ne pas la séparer d’Alain. J’ai demandé le divorce.  (pièce ).<br /> Comme je travaillais dans la région de Mons, je n’avais plus rien à faire à Bruxelles. Je m’installais dans une petite maison dans le Borinage à proximité du magasin de meubles que je vendais avec un très grand succès ! Six mois plus tard, votre mère me téléphona au magasin, en m’expliquant qu’elle regrettait son geste et qu’elle voulait voir les enfants. <br /> Arrivée chez moi, conduite par Grand’ Mamy et Pépé, elle eut le culot de se plaindre de « son jules » qui l’avait détroussé de tout son argent. Elle n’avait plus un sou sur elle. J’aurais du lui dire  « Retourne chez ta mère. Fiche-moi la paix. Je n’ai plus rien à voir avec toi ! ».<br /> Elle décida de chercher un travail dans la région de Mons, pour être en contact avec les enfants. Je lui louai un studio meublé. On alla leur rendre visite au préventorium. Ils étaient plus heureux en la voyant que lorsque nous allions leur rendre visite avec ma mère et mon beau-père. Vinciane est sortie de son mutisme et nous dit « Je croyais que maman était morte ». <br /> Ensuite, par amour, par compassion et surtout pour les enfants, je lui ai pardonné et nous avons repris la vie ensemble. J’ai abandonné le divorce. (pièce...). Valérie est née en 1977, apparemment comme le troisième enfant de l’Amour, si ce n’est que votre pauvre mère est incapable d’aimer. <br /> Peu après, un incident brusque. Votre mère tomba dans le coma après absorbions de PERTRANQUIL et d’alcool. Heureusement que j’étais en congé ce jour là. J’appelai l’ambulance qui l’embarqua toute sirène hurlante, les voisins sur leur pas de porte la regardaient partir sur une civière. <br /> Plus tard, les voisins m’ont fait part d’une « rumeur » selon laquelle votre mère avait voulu se suicider car elle était malheureuse avec moi. Ils disaient qu’on l’entendait toujours crier. Je travaillais du matin au soir jusqu’aux heures tardives. Chef de secteur de vente, responsable de personnels de vente, dans la Région de Tournai, Mouscron, Comines, je couvrais un territoire de 150.000 habitants. J’en avais conclus que votre mère s’époumonait sur vous. Plus tard, Vinciane m’expliqua que votre mère la maltraitait et tolérait qu’Alain la maltraite à souhait. <br /> Vinciane fit une fugue à l’école. La jeune institutrice vint à la maison et lui demanda pourquoi elle avait fugué de l’école. Elle la regarda avec un air mauvais sur le visage et lui dit, droit dans les yeux : « C’est parce que je ne vous aime pas… ». Cette jeune institutrice fondit en larme. Je me renseignais pour la faire suivre par un pédopsychiatre. <br /> Un nouveau travail se présentait à moi et nous menaient à revenir à Braine-l’Alleud. Un jour, votre mère m’a téléphona, pour me dire que Vinciane avait cassé le carreau de la porte d’entrée et que tout le monde pouvait entrer chez nous. Je revins d’urgence. Vinciane s’était coupée le poignet en cassant le carreau. Elle avait oublié son parapluie en sortant le matin. Elle avait sonné, mais Alain refusait de lui ouvrir la porte et crachait sur elle depuis la fenêtre du dessus, expliquait-elle. Où était dons votre mère à cet instant ? Comment se fait-t-il qu’elle n’ait pas su se débrouiller ? Le voisin pouvait réparer le carreau, et c’est d’ailleurs lui qui l’a remplacé. <br /> Je me suis mis en colère devant un tel bordel. Vinciane avec de longs cheveux sales et en désordre. Je lui avais plusieurs fois demandé d’aller chez le coiffeur. Comme j’avais l’habitude de couper les cheveux des enfants, je lui coupai les siens en lui disant « Maintenant, tu iras chez le coiffeur ». <br /> Puis, vint le jour où votre mère me dit que Pépé avait eu des gestes indécents, déplacés envers Vinciane, lorsqu’elle lui avait tenu compagnie, au moment où Grand’ Mamy était partie en Espagne. Elle m’a également raconté qu’il l’avait harcelée sexuellement lorsqu’elle même avait 12 ans. Elle avait alors été le soir, à pied de Genappe à Waterloo, se réfugier chez Bill et Siska. Le père de votre Mère revint d’Angleterre et reprit sa fille, selon ses dires, pour l’Angleterre.<br /> Vinciane avait 12 ans.  Votre mère a porté plainte au commissariat d’Ixelles contre lui. Grand’ Mamy et elle se disputaient au téléphone : <br /> -         Il ira en prison, ce sale type,  disait votre mère. <br /> -         C’est ton mari qui ira en prison,  répondait votre grand-mère.<br /> Quelques jours plus tard, je reçus une convocation pour me rendre chez le juge de la jeunesse Agneesens. J’ai eu la stupéfaction d’être accusé d’avoir rasé le crâne de Vinciane, de lui avoir cassé le nez et des côtes, avec un certificat médical à l’appui. <br /> En réalité, peu après ma coupe de cheveux de Vinciane, Grand’ Mamy qui lui avait fait raser le crâne par sa coiffeuse et lui fit mettre une horrible perruque. Je ne pouvais comprendre comment elle avait pu avoir le nez et les côtes cassées. J’ai demandé qu’elle passe une visite médicale chez le pédiatre de la famille, qui n’a décelé aucune fracture. La blessure au poignet à la suite d’un bris de vitre était cicatrisée. Quand aux cheveux rasés, il fit ce commentaire : des cheveux courts, comme ceux de mes enfants, dit-il. Ce certificat médical, contradictoire et qui pose question sur le médecin qui établit le premier, m’a permis d’éviter le pire !<br /> Entre-temps, le juge de la jeunesse avait placé Vinciane chez l’homme, objet d’une plainte pour abus sexuel ! Comme Grand’ Mamy ne pouvait plus marcher en raison d’une opération importante au genou, elle l’employait comme manœuvre en maçonnerie pour la remplacer. Elle était devenue la bonne à tout faire de son abuseur. J’ai évidemment fait appel contre cette décision.<br /> Ma mère, mon beau père et Carine qui avait alors environ 16 ans, allèrent à Genappe. Vinciane s’est enfuie en courant dans la rue quand elle les a vu, mais Carine la rattrapé. Grand’ Mamy lui avait mis en tête qu’elle serait en danger de mort avec eux. Elle alla chez eux. La gendarmerie vint pour la ramener chez ses autres grands-parents. Ils s’y sont opposés, en disant que je m’opposais à la décision de ce juge, ce qui était vrai. <br /> Mais la relation se dégrada entre eux et nous. Votre grand-mère ne respecta pas la décision du Juge d’appel. Vinciane refusait de venir à la maison. Il y avait toujours une excuse pour ne pas nous la passer au téléphone, et elle ne répondait pas à nos courriers. <br /> À Braine-l’Alleud, on m’appelait « Monsieur Logement » depuis 1980. Je pris l’avocat Me QUINTIN de la Ligue des Familles, qui me représenta. Je ne pouvais pas quitter le magasin, car il n’y avait personne pour me remplacer. Madame Fiévez, assistante sociale du Juge de la Jeunesse Agneesens, de Nivelles pensa que la pierre angulaire de cette triste histoire était votre mère ! <br /> Ce n’est qu’en 1985, quand Vinciane eut 17 ans, qu’elle a voulu nous revoir. Elle avait été placée au Home le TAMARIS à Etterbeek, parce qu’elle était devenue trop difficile pour Nènène. Elle était accompagnée d’une assistante sociale très compétente, très ouverte. Je lui ai expliqué que Grand’ Mamy l’avait détournée de nous… pour lui permettre de recevoir +- 14.000 BEF (350 €) par mois de la Communauté Française. <br /> Vinciane ne parvenait pas croire qu’ils avaient reçu de telles sommes, car elle n’avait jamais eu de vêtements neufs. Elle pensait que nous l’avions abandonnée chez eux et que Pinpin, pré pensionné, et que le défaut de moyen était du à sa modeste pension. Vinciane était réduite à devoir porter les habits trop petits de Carine. Elles allaient à la même école et avaient les même cours. Elle bénéficiait donc aussi des obligations d’achats des fournitures de Carine (16ans) dans une école chic d’Uccle – les Dames de Marie, me semble-t-il. <br /> De fait, ils avaient utilisé la pension versée pour assurer les besoins de Vinciane pour payer les études de Carine ; puis rénover l’appartement de Nènène. Le locataire était parti après plus de 30 ans d’occupation et il fallait +- 500.000 BEF (12.400 €) pour le rénover. Me voler ma fille durant 5 ans leur a rapporté 14.000 BEF (350 €) par mois durant 5 ans, ça fait 21.000 € ! <br /> En 1993, quand votre mère a voulu divorcer, Vinciane m’a averti qu’elle vous avait demandé à tous de faire un faux témoignage, selon lequel je l’aurais agressé sexuellement lorsqu’elle avait 12 ans. Elle m’a remis une attestation disant bien que jamais je n’avais tenté quoi que ce soit sur elle (voir pièce..). J’ai été expulsé de mon foyer le 21 janvier 1994, sur base du faux témoignage de Valérie. Elle avait 17 ans et ne souhaitait pas aller au pensionnat comme je l’avais décidé, du fait qu’elle brossait les cours.<br /> En représailles du témoignage de Vinciane, Alain, alla aussitôt la salir chez ses beaux-parents, avec une perversité qu’il tient manifestement de sa mère. Il leur a dit les pires choses que l’on puisse dire sur sa sœur… l’impensable : qu’elle avait couché avec son père ! Aldo est tombé dans le piège, mis Vinciane à la porte. Vinciane eu un gros chagrin. Plus tard, contacté par une amie commune, Aldo est revenu sur sa décision. Il a accepté de reprendre la vie commune à la condition qu’elle coupe toute relation avec sa famille. Le fit-elle ? Personne ne le sait ! Elle seule le sait ! <br /> Un jour, me voyant à la télé, donnant une interview sur les nouvelles conditions d’accès aux soins de santé, Vinciane dit à Aldo : « Tu vois, c’est mon papa ». Aldo, lui a répondu que je n’avais pas l’air d’être un aussi mauvais homme et dit à Vinciane qu’elle pouvait m’inviter. Je leur ai rendu visite régulièrement et assez longtemps.<br /> Vinciane était heureuse de renouer avec moi. Elle aurait bien voulu renouer avec Valérie. Alexandra et David venaient rejoindre Aldo à la salle de musculation et se plaignaient des mauvais traitements de leur mère. Aldo devait remettre les lettres que j’avais écrites à Valérie, Alexandra et David, mais je n’ai plus jamais eu de contacts avec vous.<br /> Vinciane demanda à Valérie à l’occasion du baptême de sa fille, si elle voyait un inconvénient de m’y voir présent à la fête. Elle lui a répondu « La présence de ton père ne me dérange pas… mais le mien est mort ». Curieuse réponse. Je n’ai pas été invité au baptême.<br /> Je vous ai tous aimé comme un père peut aimer ses enfants. J’ai tenté de vous protéger de votre grand-mère maternelle, qui a couvert les actes de pédophilie de son mari, sur sa fille et sa petite-fille. Votre mère a reporté sur moi, les accusations qu’elle avait portées sur son beau-père, pour me voler la villa. Alain junior a tenté de détruire le couple de sa sœur en soutenant que les abus de cet homme avaient été faits par son père. Valérie a rajouté des fausses accusations pour éviter d’aller au pensionnat et continuer à brosser les cours. Même ma Vinciane m’a trahi, mais financièrement, seulement. <br /> Vous avez été élevés par des gens qui ne portent que haine en eux et ne laissent de place en leurs cœurs, que pour le profit et le pognon ! Certains d’entre vous ont manifestement suivi ce triste exemple. Malgré tous ces actes de traîtrises, je suis le moins à plaindre, parce que je suis toujours capable de faire la différence entre l’ignoble et le merveilleux. J’espère que parmi mes cinq enfants, l’un ou l’autre connaît ce bonheur. <br /> J’ai également toujours le bonheur d’être capable de pardonner, mais pour obtenir le pardon, il faut être capable de le demander. Je doute qu’Alain junior ait ce courage. Il porte tant de haine en lui, qu’il n’y a plus de place pour un atome de bon sentiment. Je doute que Valérie en soit capable, car elle devrait reconnaître le mal qu’elle m’a fait. J’espère que mes autres enfants sont encore capables d’ouvrir leurs yeux et qu’ils éviteront de reproduire les mêmes horreurs sur la génération à venir. <br /> Vous trouverez ci-joint un petit article concernant un homme qui s’est retrouvé à l'infirmerie psychiatrique de la préfecture de police, suite à des menaces de morts, pour rappeler les conséquences de ce genre d’actes. Vous trouverez également la première demande en divorce, ainsi qu’une lettre du notaire concernant votre frère, Alain Senior. Denise, épouse de John Taylor, témoin de notre mariage, sa fille Jacqueline et ses enfants, vos tantes Micheline, Odette, Jacqueline et Grand’ Mamy pourrons vous en parler. <br /> Dites-lui, à Alain Senior, si vous le rencontrez, qu’il a échappé belle avec sa mère, et que je garde un merveilleux souvenir de lui.  <br /> (…à suivre) <br /> Votre père officiel,<br /> Interpellation d'un homme qui avait menacé de mort le président Sarkozy - vendredi 24 octobre 2008<br /> Un homme qui avait envoyé le 15 octobre un e-mail de menaces de mort à Nicolas Sarkozy a été interpellé dans la nuit de jeudi à vendredi à Paris, a-t-on appris de source policière. Après avoir reconnu les faits lors de sa garde à vue, il a été admis à l'infirmerie psychiatrique de la préfecture de police. Lire la suite l'article sur <br /> http://fr.news.yahoo.com/3/20081024/tfr-sarkozy-menace-mort-56633fe.html
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W
<br /> <br /> C’est un constat de plus : si la femme est l’avenir de l’homme… elle peut être aussi son plus grand malheur…<br /> et vice versa ! Des exemples comme celui-ci sont par milliers ! Bravo pour ce courageux papa à dénoncer ouvertement - à la face du monde entier - les abominations et de cette famille et<br /> de cette justice qui se fait complice de ces scélérats! C’est une honte nationale !<br /> <br /> <br /> <br />
J
"On ne saurait tolérer que les tribunaux qualifient les faits en fonction des résultats qu'ils souhaitent obtenir dans le cas d'espèce car dès lors que l'impressionnisme tient lieu de règle, le déclin du Droit n'est pas loin..." Professeur Roger PERROT in Revue Trim. Droit Civil  1984 page 559
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M
COMMENT ON DETRUIT UN HOMME ? Les manœuvres les plus subtiles qui puissent détruire un homme et ses actions militantes pour dire « ce qui ne va pas dans notre société » et dénoncer les Disfonctionnements de la Justice et des Institutions (ou de l’imposture judiciaire, c’est selon) c’est de l’accuser de violence conjugale, d’avoir commis des actes incestueux sur ses enfants et d’être un déséquilibré mental. Non seulement cela décrédibilise toutes les révélations dont il est l’auteur, mais cela lui fait perdre le soutien et la solidarité des militants des droits de l’enfant, placés ainsi dans une situation insupportable de ne plus savoir que faire à son égard ni quoi penser. C’est ce qui est arrivé à plus de 10.000 d’entre-nous par des témoignages recueillis depuis 1994 au sein du réseau des pères violés et spoliés. Donnez-nous aussi votre témoignage et/ou celui que vous connaissez bien. Réagissez, car ça vous pend aussi au nez ! M. WILLEKENS – Fondateur du Collectif LVDP  
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G
L’égalité ? Une affaire de femmes ! <br /> http://csc.lexum.umontreal.ca/fr/2008/2008csc50/2008csc50.html<br /> Ceci devrait être un signal (un autre) pour ne pas se marier, et même riche, rien payer à sa conjointe. (Car l’homme n’est que le cochon payeur !) <br /> Ceci va faire jurisprudence.  (Dans mon cas, mon ex a obtenu le non partage des fonds de retraites et de la maison). Comme quoi, l’égalité est une affaire de femme ! 
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G
Bonjour Monsieur Willekens, C'est la réalité, et il y a bien d'autres, exemple: Une marocaine qui n'a aucune formation, qui est illetrée, elle se marie avec un belge.Elle a 3 enfants, donc un handicapé ce qui donne 950 euros d'allocations famillial, elle viens d'obtenir la nationalité belge.En décembre 2006 elle jete son mari dehors.Elle perçois à ce jour: 850 euros de CPAS, 150 euros pension alimentaire, 950 euros allocations famillial,.Elle refuse que le père vois ses enfants, par peur qu'il quitte le sol belge avec, ce qui enleverais tous sont potentiel financier.Des Magistrats ont connaissance de cette escroquerie, et ils regardent et laissent faire. Cette femme porte le voile, j'ai enquêté au seins de cette communauté pour recueillir des preuves pour transmettre au moment voulu à des médias flamand. Il faut être lucide, un peuple belge est confronté à une dictature dans ce pays, les médias de la Wallonnie restent indifférent, par peur de représailles.Mais comme je vous ai déjà mentionné, il faut des preuves concrètes pour faire bouger la flandre, parce que ça serat de la que viendrat la délivreance dans la Wallonie. Mon père qui est grand père est victime, et ils se sont servit de son petit fils pour faire du chantage   " taisez vous et vous pourrez le voire ".Mon père est victime de blanchiment et les Magistrats de Neufchâteau refusent de faire la vérité pour ne pas dénoncer une fraude très importante.Une secte est présente, et cela fait 7 années que j'aide à combattre cette secte, les éléments sont réunis, suite à des enquêtes que j'ai menées. Je peut vous assurer qu'un changement verrat le jour dans ce pays, à la grande surprise de beaucoup. Je me suis sacrifié pour cela, pour venir en aide à des êtres qui se trouvent dans du grand désespoires. Savez vous qu'au SAJ de Liège, des dossiers sont cannassés et aux détriments d'enfants. Une stagière suite à son stage au SAJ de Liège, m'a confirmé des éléments. Je demande à Dieu tous les jours que la justice triomphe pour les enfants qui souffrent, et que ceux qui pratiquent le mal de bon coeur connaissance les épreuves qui est dut. Quand vous obrservez d'autres pays, vous remarquerez que toute les formes de dictature sombre un jours devant un peuple.La Belgique est un jeune pays qui n'a pas encore connu une vrai transformation pour le bien d'un peuple.Bon courage.Georges Klinkers
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